CDL / Nice : la tribune Sud fermée contre Metz

[Chevalin]

La tribune Populaire Sud restera fermée au public à l'occasion de la venue de Metz, le mercredi 29 octobre prochain pour le compte des seizièmes de finale de la Coupe de la Ligue (18h30).

http://www.football365.fr/france/infos- ... 6142.shtml

[DerGänsWärter]

Ce site de scheiss est insupportable avec ses vidéos fake qui sont en lecture automatique à chaque fois !

Je ne clique plus sur leur liens.

[heisenberg]

Ce n'est rien par rapport à la sanction que ce club de blaireaux va prendre pour les incidents de Samedi .

[sh06400]

Comme je vais voir le match, j'espère que le stade ne sera pas déjà suspendu

[Bel Jéthucine]

J'aurais préféré que le match soit à huis clos ou déplacé à Gueugnon, mais bon : c'est déjà ça.

[rf57]

delocalisation à nancy

[Smith57]

Ce n'est rien par rapport à la sanction que ce club de blaireaux va prendre pour les incidents de Samedi .

Oh oui et j'espère qu'ils vont prendre très cher ces abrutis.

[DCD]

Article de Corse Matin qui relate le communiqué du SC Bastia au sujet des incidents. J'aime beaucoup, surtout le fin


"La présence de notre drapeau a uniquement constitué la réponse symbolique que le club a voulu apporter à l’arrêté surréaliste et liberticide du préfet des Alpes-Maritimes", introduit le comité directeur dans un communiqué rendu public dimanche après-midi.

Et de rappeler que l'arrêté interdisant les objets à l'effigie du SCB et des clubs sportifs corses "avait ensuite été modifié, ce qui n’avait pas empêché vendredi le tribunal administratif de Nice de condamner l’Etat à nous verser une somme de 500 €, valeur pour nous de symbole et de point d’honneur".


"C’est donc afin de montrer avec ironie toute la vanité de cette mesure aussi inutile que blessante pour l’ensemble des Corses, que nos joueurs se sont échauffés avec un maillot dont la Tête de Maure était barrée d’une croix rouge", justifie encore le SCB.

"Notre drapeau -de nouveau autorisé- étant le fondement de notre identité insulaire et footballistique, nos joueurs ont tenu à poser pour la traditionnelle photo d’équipe avec la bandera, avant de l’accrocher à l’intérieur du banc des remplaçants, durant toute la rencontre."

Pour le Sporting, la situation est claire: à aucun moment Jean-Louis Leca n'est venu provoquer les supporters de l'OGC Nice.

"La victoire obtenue de haute lutte et dans un contexte sportif peu évident depuis plusieurs semaines, c’est dans le même esprit que Jean-Louis Leca a spontanément célébré le gain des 3 points en récupérant ce même drapeau pour aller communier avec ses coéquipiers. Il s’agit là d’un geste de fierté naturelle, qui refermait en quelque sorte une page juridique, administrative et sportive dont le Sporting se serait volontiers passé et qui n’avait absolument rien à avoir avec le club de l’OGC Nice et ses supporters."

D'ailleurs, le club corse indique que la doublure d'Aréola "ne s’est absolument pas dirigé vers la Populaire Sud pour effectuer on ne sait quelle «provocation» mais pour rejoindre dans le rond central le reste de l’équipe, qui venait de défendre en seconde mi-temps du côté de cette tribune."

Et de mettre en cause l'attitude de Didier Digard: "C’est uniquement parce que le capitaine niçois a cru utile de venir agressivement signifier à notre joueur qu’il devait ranger son drapeau et son identité. Cela était d’autant plus inutile que Jean-Louis Leca ne tenait plus ce dernier déployé et le conservait à la main."

"Une légère bousculade s’est alors produite, qui n’a progressivement dégénéré en plusieurs points que par l’intervention de plusieurs dizaines de supporters niçois qui avaient pénétré sur la pelouse pour agresser plusieurs de nos joueurs et membres du staff."

"Nous n’accepterons en aucune façon que l’on puisse impliquer le Sporting Club de Bastia dans ces incidents, ni que l’on puisse incriminer ou qualifier de «provocateur» Jean-Louis Leca simplement pour avoir voulu manifester avec conviction et pacifiquement la fierté d’être ce qu’il est, à savoir un joueur corse qui remporte après 20 ans d’attente un derby ô combien important, qui plus est dans une ville où le représentant de l’Etat avait illégalement prohibé de manière inédite – et absolument inenvisageable pour toute autre communauté en France - le drapeau de ses ancêtres dans un lieu public."


Le SC Bastia n'oublie pas de tacler le député-maire de Nice, qui avait dès samedi soir réclamé des sanctions à l'égard du "provocateur".

"Christian Estrosi (…) n’avait pas hésité à apporter au mois de février dernier son entier soutien au triste attaquant niçois Alexy Bosetti, accusé d’avoir exhibé -une fois de plus- ses tatouages à la gloire d’une organisation dissoute pour hooliganisme au nez de la tribune Ganay du stade Vélodrome de Marseille : «La sanction infligée (…) est une injustice. Témoigner fierté d’appartenance à Nice lors d’un but n’est pas une provocation.» On ne saurait mieux dire", conclut le communiqué.

[DeBommeler]

Article de Corse Matin qui relate le communiqué du SC Bastia au sujet des incidents. J'aime beaucoup, surtout le fin


"La présence de notre drapeau a uniquement constitué la réponse symbolique que le club a voulu apporter à l’arrêté surréaliste et liberticide du préfet des Alpes-Maritimes", introduit le comité directeur dans un communiqué rendu public dimanche après-midi.

Et de rappeler que l'arrêté interdisant les objets à l'effigie du SCB et des clubs sportifs corses "avait ensuite été modifié, ce qui n’avait pas empêché vendredi le tribunal administratif de Nice de condamner l’Etat à nous verser une somme de 500 €, valeur pour nous de symbole et de point d’honneur".


"C’est donc afin de montrer avec ironie toute la vanité de cette mesure aussi inutile que blessante pour l’ensemble des Corses, que nos joueurs se sont échauffés avec un maillot dont la Tête de Maure était barrée d’une croix rouge", justifie encore le SCB.

"Notre drapeau -de nouveau autorisé- étant le fondement de notre identité insulaire et footballistique, nos joueurs ont tenu à poser pour la traditionnelle photo d’équipe avec la bandera, avant de l’accrocher à l’intérieur du banc des remplaçants, durant toute la rencontre."

Pour le Sporting, la situation est claire: à aucun moment Jean-Louis Leca n'est venu provoquer les supporters de l'OGC Nice.

"La victoire obtenue de haute lutte et dans un contexte sportif peu évident depuis plusieurs semaines, c’est dans le même esprit que Jean-Louis Leca a spontanément célébré le gain des 3 points en récupérant ce même drapeau pour aller communier avec ses coéquipiers. Il s’agit là d’un geste de fierté naturelle, qui refermait en quelque sorte une page juridique, administrative et sportive dont le Sporting se serait volontiers passé et qui n’avait absolument rien à avoir avec le club de l’OGC Nice et ses supporters."

D'ailleurs, le club corse indique que la doublure d'Aréola "ne s’est absolument pas dirigé vers la Populaire Sud pour effectuer on ne sait quelle «provocation» mais pour rejoindre dans le rond central le reste de l’équipe, qui venait de défendre en seconde mi-temps du côté de cette tribune."

Et de mettre en cause l'attitude de Didier Digard: "C’est uniquement parce que le capitaine niçois a cru utile de venir agressivement signifier à notre joueur qu’il devait ranger son drapeau et son identité. Cela était d’autant plus inutile que Jean-Louis Leca ne tenait plus ce dernier déployé et le conservait à la main."

"Une légère bousculade s’est alors produite, qui n’a progressivement dégénéré en plusieurs points que par l’intervention de plusieurs dizaines de supporters niçois qui avaient pénétré sur la pelouse pour agresser plusieurs de nos joueurs et membres du staff."

"Nous n’accepterons en aucune façon que l’on puisse impliquer le Sporting Club de Bastia dans ces incidents, ni que l’on puisse incriminer ou qualifier de «provocateur» Jean-Louis Leca simplement pour avoir voulu manifester avec conviction et pacifiquement la fierté d’être ce qu’il est, à savoir un joueur corse qui remporte après 20 ans d’attente un derby ô combien important, qui plus est dans une ville où le représentant de l’Etat avait illégalement prohibé de manière inédite – et absolument inenvisageable pour toute autre communauté en France - le drapeau de ses ancêtres dans un lieu public."


Le SC Bastia n'oublie pas de tacler le député-maire de Nice, qui avait dès samedi soir réclamé des sanctions à l'égard du "provocateur".

"Christian Estrosi (…) n’avait pas hésité à apporter au mois de février dernier son entier soutien au triste attaquant niçois Alexy Bosetti, accusé d’avoir exhibé -une fois de plus- ses tatouages à la gloire d’une organisation dissoute pour hooliganisme au nez de la tribune Ganay du stade Vélodrome de Marseille : «La sanction infligée (…) est une injustice. Témoigner fierté d’appartenance à Nice lors d’un but n’est pas une provocation.» On ne saurait mieux dire", conclut le communiqué.

+1 avec les Corses... eux au moins prennent la peine de faire une mise au point.

[DeBommeler]

Ce n'est rien par rapport à la sanction que ce club de blaireaux va prendre pour les incidents de Samedi .

Oh oui et j'espère qu'ils vont prendre très cher ces abrutis.

Ben pas moi, seuls ceux qui ont pénétré sur la pelouse doivent être sanctionnés, pourquoi toute la tribune devrait expier leur faute?