Amos a écrit :Selon moi, c'est simple :
On retrouve la L1 après une longue absence et tout le monde a peur du début de saison
(On a pu lire ici même qu’on allait d’entrée en prendre 3 à Lille, 4 contre Lyon, et j’en passe….)
A lieu de ça se retrouve 5ème à la 8ème journée, fini la peur, bonjour l’euphorie.
(On a pu lire ici même que cette saison c’est sur on ne jouera pas le maintien
ou que jamais une équipe n’est descendue avec 18 points à la 15 ème journée....)
Quand ça commence à se gâter on a toujours un petit matelas sous les fesses
et comme on sait qu’une équipe a toujours un creux dans une saison on
ne s’inquiète pas plus que ça.
On a pu lire ici même "On a perdu mais c’est pas grave on gagne le prochain
match et ça repart !" On le lit une fois, deux fois, XX fois hélas et toujours rien
(peut-être le prochain ? :roll: ).
Bref l’euphorie de début de saison, quelques excuses plus ou moins valables
(pénos manqués, arbitrage,…) ont masqué un bon moment nos lacunes.
Maintenant le cumul de mauvais résultats fait jeu de dominos, tout s'effondre
rien de ce que tente Cartier ne fonctionne.
Quand certains disent qu’on est remonté trop tôt, je dis qu’on a débuté trop bien.
Résultat personne au club n’a vu arriver la catastrophe, hélas !
Dans le Réplo, Carrasso parle de barrière de la langue,
on ne peut nier que cela ne facilite pas "l’intégration"
(on nous a pourtant dit que tout allait bien de ce coté)
mais quand on veut vraiment communiquer, quand tout
le monde fait des efforts (sur et hors du terrain) cette barrière peut sauter !
En début de saison j’ai cru voir une bonne entente
entre Bussmann et Krivets (par exemple), puis plus rien…
Un Krivets arrivé cuit mais qui a fait ses meilleurs matches à ce moment là .
J’ai l’impression qu’on a eu rapidement beaucoup de petits problèmes
qui n’ont pas été résolus ou mal (les ultra, le comportement de certains
joueurs…) on a laissé tout cela se dégrader. Pas volontairement mais par
laxisme en se disant que ça se réglerait tout seul, ou simplement que personne
ne voulait se mouiller ou autres… (mauvaise répartition des tâches au sein du club ?).
Quant les victoires ou simplement les bons résultats suivent ces petits
ruisseaux sont généralement rapidement secs, quand rien ne va ils deviennent des fleuves.
M’enfin, Lille était une fois la fin de ce cauchemar pourtant gentiment commencé par un rêve de maintien. :'(