RL du 21/09/2009 : Metz, un exploit sans lendemain

[Séb]

Tout ça pour ça. A l’instar ce qu’ils ont réussi et de ce qu’ils ont finalement raté, en championnat, la saison dernière, les Messins ont pareillement soufflé le show et l’effroi sur le front de la Coupe de la Ligue. Premiers à triompher à Lyon depuis un an, toutes compétitions confondues, le 11 novembre 2008, ils avaient ensuite disparu de l’écran le 13 janvier 2009 à Vannes, promu en Ligue 2, au bout d’une nuit soirée glaciale et d’une séance de tirs au but à l’avenant. « Cela reflète bien le football, souffle aujourd’hui Pascal Johansen, où la vérité d’un match n’est que très rarement celle du suivant… » Cela reflète bien le FC Metz de la saison dernière, parfois brillant, mais si désespérant.

Moins d’un an plus tard, les mêmes joueurs ou presque retrouvent la Coupe de la Ligue comme une séance de rattrapage. Jusqu’ici, tout va bien : vainqueur de Bastia puis de Tours lors des deux tours préliminaires, Metz a gagné le droit d’accueillir une équipe de Ligue 1, Valenciennes, après-demain à Saint-Symphorien. En évoquant l’entrée en lice en Coupe de la Ligue, au coup d’envoi de la saison, Romain Brégerie n’avait pas caché le sentiment messin : « C’est une épreuve intéressante et une compétition qui nous tient à cœur, forcément. »

Valenciennes n’est pas Lyon, ni Marseille, ni Bordeaux, qui n’entreront d’ailleurs en lice qu’un peu plus près du Stade de France. Du coup, relève Pascal Johansen, « personne ne nous parle de ce match ». « On ne peut pas expliquer notre mauvaise prestation face à Dijon par le fait que nous avions déjà la tête à la Coupe de la Ligue. » Depuis samedi matin, c’est différent : « Nous avons l’occasion de gommer ce qui vient de se passer, sans passer trop de temps à cogiter, poursuit Johansen. Changer de compétition peut constituer une bonne bouffée d’air frais. »
Un goût de revanche aujourd’hui encore…

En attendant, l’incongruité d’enchaîner un exploit à Lyon par une élimination à Vannes ne s’est pas totalement estompée, comme si elle suscitait encore un goût de revanche pouvant servir de ressort à un supplément de motivation. « C’est loin, mais les regrets étaient réels, affirme Yvon Pouliquen. A Lyon, nous avions réussi un gros match, en faisant rapidement preuve d’efficacité, ce qui est loin d’être dans nos habitudes. Il y avait aussi eu la réussite pour marquer un troisième but, juste après la réduction du score, sur une erreur lyonnaise. En Coupe, une petite équipe peut parfois en battre une grande. »

Devenu favori, en quart, à Vannes, Metz avait donc perdu aux tirs au but, laissant passer plusieurs occasions de s’imposer avant même la prolongation. « Après, voir Vannes se qualifier pour la finale, ça fout les boules, reconnaît Pascal Johansen, aujourd’hui encore. Cela avait laissé des traces et donne l’envie de goûter à un nouveau parcours. Avec Valenciennes, nous allons affronter une équipe de Ligue 1 en pleine réussite, avec beaucoup de motivation et peu de pression. Ça ne peut nous faire que du bien. » Sans compter qu’au tour suivant, en janvier, Lyon fera partie du tirage…

Sylvain VILLAUME.

[Séb]

Tableau de bord. Hier : une séance d’entraînement. Aujourd’hui et demain : entraînement à 9 h 30, terrain du bord de l’autoroute.

D’un match à l’autre. Dernier match : Metz - Dijon (7 e journée de Ligue 2) vendredi 18 septembre : 0-0. Prochain match : Metz - Valenciennes (16 e de finale de la Coupe de la Ligue) mercredi 23 septembre (18 h 45). A suivre : Le Havre - Metz (8 e journée de Ligue 2) samedi 26 septembre (19 h) ; Metz - Laval (9 e journée) vendredi 2 octobre (20 h 30).

A l’infirmerie. Julien Cardy n’a pas figuré dans le groupe retenu pour Metz - Dijon en raison d’une blessure aux adducteurs, contractée la veille à l’entraînement : il doit passer des examens qui préciseront le diagnostic, mais sa participation à Metz - Valenciennes mercredi est d’ores et déjà « compromise », selon Yvon Pouliquen. Victime d’une légère entorse à la cheville vendredi, Pascal Johansen a suivi des soins et devrait reprendre l’entraînement ce matin. Stéphane Borbiconi, qui souffrait également d’une entorse à la cheville, est quant à lui de nouveau opérationnel.

Suspendu. Aucun.

[Capitaine Fracasse]

Devenu favori, en quart, à Vannes, …
Sylvain VILLAUME.

Ne manque jamais l'occasion de la ressortir., Monsieur Sylvain..

c'est vrai on était ce jour là favoris en quart à Vannes,

mais on est revenus à la maison en trotinette, une main devant, une main derrière (et pour faire de la trotinette comme cela, faut le faire)

[Rocki4]

Tout ça pour ça. A l’instar ce qu’ils ont réussi et de ce qu’ils ont finalement raté, en championnat, la saison dernière, les Messins ont pareillement soufflé le show et l’effroi sur le front de la Coupe de la Ligue. Premiers à triompher à Lyon depuis un an, toutes compétitions confondues, le 11 novembre 2008, ils avaient ensuite disparu de l’écran le 13 janvier 2009 à Vannes, promu en Ligue 2, au bout d’une nuit soirée glaciale et d’une séance de tirs au but à l’avenant. « Cela reflète bien le football, souffle aujourd’hui Pascal Johansen, où la vérité d’un match n’est que très rarement celle du suivant… » Cela reflète bien le FC Metz de la saison dernière, parfois brillant, mais si désespérant.

Moins d’un an plus tard, les mêmes joueurs ou presque retrouvent la Coupe de la Ligue comme une séance de rattrapage. Jusqu’ici, tout va bien : vainqueur de Bastia puis de Tours lors des deux tours préliminaires, Metz a gagné le droit d’accueillir une équipe de Ligue 1, Valenciennes, après-demain à Saint-Symphorien. En évoquant l’entrée en lice en Coupe de la Ligue, au coup d’envoi de la saison, Romain Brégerie n’avait pas caché le sentiment messin : « C’est une épreuve intéressante et une compétition qui nous tient à cœur, forcément. » je pense que le fcm restera lomgtemp en L2 voir jouer le meintien et peut_etre suivre
Riems et Trois , l'équipe joue de la meme fasçont que l'année dernnier pourquoi la meme attaque sans Farina qui etait le plus percutant , le milieu plus faible Johansen un jour avec deux jours sans Cardy c'est fini il falais garder Barbossa ou recruter , la defence , Borbi ok , Bianca ok , Frecho ok mais Musts a revoir
pour les gardiens il ne faudrais pas que Mariche se blésse . L'entreneur YP il critique c'est joueurs mais moi je pense que c'est chois tactique laisse a desirait qu'il arrete avec Cissée et qu'il mette les joueur a leur
place , je pense que Jean Fernandes serait l'homme de la situation

Valenciennes n’est pas Lyon, ni Marseille, ni Bordeaux, qui n’entreront d’ailleurs en lice qu’un peu plus près du Stade de France. Du coup, relève Pascal Johansen, « personne ne nous parle de ce match ». « On ne peut pas expliquer notre mauvaise prestation face à Dijon par le fait que nous avions déjà la tête à la Coupe de la Ligue. » Depuis samedi matin, c’est différent : « Nous avons l’occasion de gommer ce qui vient de se passer, sans passer trop de temps à cogiter, poursuit Johansen. Changer de compétition peut constituer une bonne bouffée d’air frais. »
Un goût de revanche aujourd’hui encore…

En attendant, l’incongruité d’enchaîner un exploit à Lyon par une élimination à Vannes ne s’est pas totalement estompée, comme si elle suscitait encore un goût de revanche pouvant servir de ressort à un supplément de motivation. « C’est loin, mais les regrets étaient réels, affirme Yvon Pouliquen. A Lyon, nous avions réussi un gros match, en faisant rapidement preuve d’efficacité, ce qui est loin d’être dans nos habitudes. Il y avait aussi eu la réussite pour marquer un troisième but, juste après la réduction du score, sur une erreur lyonnaise. En Coupe, une petite équipe peut parfois en battre une grande. »

Devenu favori, en quart, à Vannes, Metz avait donc perdu aux tirs au but, laissant passer plusieurs occasions de s’imposer avant même la prolongation. « Après, voir Vannes se qualifier pour la finale, ça fout les boules, reconnaît Pascal Johansen, aujourd’hui encore. Cela avait laissé des traces et donne l’envie de goûter à un nouveau parcours. Avec Valenciennes, nous allons affronter une équipe de Ligue 1 en pleine réussite, avec beaucoup de motivation et peu de pression. Ça ne peut nous faire que du bien. » Sans compter qu’au tour suivant, en janvier, Lyon fera partie du tirage…

Sylvain VILLAUME.

[efka]

Tout ça pour ça. A l’instar ce qu’ils ont réussi et de ce qu’ils ont finalement raté, en championnat, la saison dernière, les Messins ont pareillement soufflé le show et l’effroi sur le front de la Coupe de la Ligue. Premiers à triompher à Lyon depuis un an, toutes compétitions confondues, le 11 novembre 2008, ils avaient ensuite disparu de l’écran le 13 janvier 2009 à Vannes, promu en Ligue 2, au bout d’une nuit soirée glaciale et d’une séance de tirs au but à l’avenant. « Cela reflète bien le football, souffle aujourd’hui Pascal Johansen, où la vérité d’un match n’est que très rarement celle du suivant… » Cela reflète bien le FC Metz de la saison dernière, parfois brillant, mais si désespérant.

Moins d’un an plus tard, les mêmes joueurs ou presque retrouvent la Coupe de la Ligue comme une séance de rattrapage. Jusqu’ici, tout va bien : vainqueur de Bastia puis de Tours lors des deux tours préliminaires, Metz a gagné le droit d’accueillir une équipe de Ligue 1, Valenciennes, après-demain à Saint-Symphorien. En évoquant l’entrée en lice en Coupe de la Ligue, au coup d’envoi de la saison, Romain Brégerie n’avait pas caché le sentiment messin : « C’est une épreuve intéressante et une compétition qui nous tient à cœur, forcément. »

Valenciennes n’est pas Lyon, ni Marseille, ni Bordeaux, qui n’entreront d’ailleurs en lice qu’un peu plus près du Stade de France. Du coup, relève Pascal Johansen, « personne ne nous parle de ce match ». « On ne peut pas expliquer notre mauvaise prestation face à Dijon par le fait que nous avions déjà la tête à la Coupe de la Ligue. » Depuis samedi matin, c’est différent : « Nous avons l’occasion de gommer ce qui vient de se passer, sans passer trop de temps à cogiter, poursuit Johansen. Changer de compétition peut constituer une bonne bouffée d’air frais. »
Un goût de revanche aujourd’hui encore…

En attendant, l’incongruité d’enchaîner un exploit à Lyon par une élimination à Vannes ne s’est pas totalement estompée, comme si elle suscitait encore un goût de revanche pouvant servir de ressort à un supplément de motivation. « C’est loin, mais les regrets étaient réels, affirme Yvon Pouliquen. A Lyon, nous avions réussi un gros match, en faisant rapidement preuve d’efficacité, ce qui est loin d’être dans nos habitudes. Il y avait aussi eu la réussite pour marquer un troisième but, juste après la réduction du score, sur une erreur lyonnaise. En Coupe, une petite équipe peut parfois en battre une grande. »

Devenu favori, en quart, à Vannes, Metz avait donc perdu aux tirs au but, laissant passer plusieurs occasions de s’imposer avant même la prolongation. « Après, voir Vannes se qualifier pour la finale, ça fout les boules, reconnaît Pascal Johansen, aujourd’hui encore. Cela avait laissé des traces et donne l’envie de goûter à un nouveau parcours. Avec Valenciennes, nous allons affronter une équipe de Ligue 1 en pleine réussite, avec beaucoup de motivation et peu de pression. Ça ne peut nous faire que du bien. » Sans compter qu’au tour suivant, en janvier, Lyon fera partie du tirage…

Sylvain VILLAUME.

[BlackGenius]

Devenu favori, en quart, à Vannes, …
Sylvain VILLAUME.

Ne manque jamais l'occasion de la ressortir., Monsieur Sylvain..

c'est vrai on était ce jour là favoris en quart à Vannes,

mais on est revenus à la maison en trotinette, une main devant, une main derrière (et pour faire de la trotinette comme cela, faut le faire)

Moi j'aime bien le jeu de mots devenu favori en caravane

[Evargalo]

C.Gueye et S.Borbiconi opérationnels ? Bonnes nouvelles!

[Pourpre]

De quoi se masturber un an plus tard...
Ca m'enlève pas le cafard...