champ d'or a écrit :
Letherc0re a écrit :
Leaders intellectuels autoproclamés...
J'imagine que tu ranges glouglou dans la même case.
Les autres, je ne sais pas...
Le sarcasme, oui. Et accroche-toi. Tant que certains balanceront des pensées à peu près aussi fines que celles Trump en meeting (lui aussi, il n'aime pas les pseudo-élites, d'ailleurs), je ne risque pas d'y aller avec le dos de la cuillère.
Les avis contraires, j'en partage. Avec des personnes avec qui le dialogue est possible. Et il arrive que dans une mer de désaccords, on se comprenne, au final. Comme avec Alain à l'instant.
Quant à la vie réelle, ne t'inquiète pas. À mon âge, je sais qui je suis et où je vais. Pas la peine de me souhaiter le meilleur.
Pourquoi discuter avec toi, Billou ou Jeanmimi ? Peut-être parce que mes propos, aussi acerbes soient-ils, ne signifient pas que je méprise qui que ce soit. Le mépris, c'est de la médiocrité en barre. Libre à toi de me considérer médiocre. Pour ma part, c'est un procès que je ne ferai à personne, même à ceux qui me rentrent dedans. Je me moque dans une joute verbale qui s'y prête, et je n'ai pas l'intention d'arrêter.
C'est profiter d'un espace d'expression libre. Je considèrerai l'hypothèse de la thérapie si tu es psy et que je peux consulter. ;)
Sinon, Charles, je ne toise personne. C'est juste nase de penser qu'on est dans la tête des joueurs. Qu'on sait ce qu'ils pensent, surtout quand cet a priori va dans le sens de ta démonstration.
La déception vu l'ambition de l'équipe, elle est naturelle.
Traoré et Udol, tu crois qu'ils n'ont jamais commis de boulettes ou de passages à vide ?
L'analyse d'Udol, si tu l'écoutes avec un minimum d'objectivité, elle n'est pas à charge. Il met toute l'équipe dans le même panier.
Mais je veux bien être leader intellectuel de mes deux si tu te proclames roi de la mauvaise foi. :)
Je crois surtout que quand t'as fini de t'écouter parler il ne reste plus beaucoup d'espace disponible pour quelque échange que ce soit.
Tu ne toises personne, mais c'est "nase de penser". 10 mots sur une même ligne qui disent tout et leur contraire.
"Je me moque", "dans une joute" : tu es bien là pour provoquer et susciter une forme de confrontation, dans quel but ? Espace d'expression libre, mais pas scène de one man show, il faut savoir accepter les retours différents et contradictoires.
Et que vient faire Trump là-dedans ? tu m'expliqueras ça, d'autant qu'il est normalement interdit de parler politique.
Je ne te considère pas en + ni en -, je réponds à certaines de tes phrases.
Et avec ou sans ton consentement ou assentiment je persiste :
- les cagades d'Oukidja gonflent ses coéquipiers
- le jeu proposé par le FC Metz est stérile (1 but marqué sur les 3 derniers matchs)
- j'attends les 2 prochaines rencontres pour voir si Le Mignan est capable de revoir certaines choses ou si lui aussi, comme ses prédécesseurs, va s'enfermer dans ses certitudes pour le meilleur et pour le pire.
- si à la trêve, voir avant, le président sent que l'objectif (celui qui n'est pas assumé mais qui est logique quand on est relégué et que le trading de joueurs constituent la manne financière n°1) n'est pas atteignable, il prendra des décisions.
Champ d'Or.
Il m'apparait évident que nous ne partirons pas en vacances ensemble.
Tant mieux. Nous trouverons l'un comme l'autre meilleure compagnie.
Si je résume, je suis un pseudo-intellectuel qui s'écoute parler.
Probablement méprisant, un homme creux et un clown (one man show oblige) qui se croit au-dessus de la masse, qui n'est pas capable d'accepter les différences d'opinion ou de points de vue autre que les siennes, et qui parle de politique comme qui rigole dans un espace qui n'est pas dédié à ça.
"Tu ne toises personne, mais c'est "nase de penser". 10 mots sur une même ligne qui disent tout et leur contraire.
Je ne sais pas où tu vois une opposition dans le fait de dire "qu'on ne toise pas les gens" quand on qualifie l'un de leurs points de vue de nase.
J'attends impatiemment ton argumentaire et l'expression de ton sens de la sémantique.
Surtout, pour quelqu'un qui semble ne pas aimer, voire détester la majorité de mes interventions, je me félicite de bénéficier de tant de tolérance et d'absence de préjugés de ta part. Tu es un parangon de vertu, pas obstiné pour un sou. C'est beau.
Je te retourne donc une question posée un peu plus tôt.
Pourquoi t'entêtes-tu à revenir vers moi alors que pour le coup, je n'ai ni ton respect, ni un sens de l'expertise qui mérite que tu t'y attardes, alors que "je ne te considère pas comme mon égal du haut du mont Olympe depuis lequel je t'observe en pouffant ?"
Pourquoi tu ne dis pas que nos échanges sont devenus personnels et se construisent sur la détestation ? Pour être précis, ta détestation de ma façon de m'exprimer, de provoquer, sans parler de ce que tu crois voir de moi en lisant mes lignes et entre les lignes.
Ce n'est pas plus simple ?
Pour le reste, si tu as le complexe du dernier mot, je te laisse volontiers.
Et pour être franc, je ne perdrai de temps à rebondir sur tes affirmations, peu importe qu'elles soient partagées ou non par d'autres.
Je n'ai aucune volonté d'essayer de te convaincre. J'irai même jusqu'à dire que je me cogne de ton avis là, tout de suite, juste après ta si belle tentative d'avilir mes propos ou de les surinterpréter... ce que tu me reproches, par ailleurs.
C'est toute l'ironie de la situation.
Je mets donc fin à notre échange.
Mais rassure-toi, ni tes commentaires de psy de comptoir se questionnant sur la vacuité de mon existence, ni tes pointes mouchetées ne m'empêcheront de dire ce que je crois, que ça te plaise ou pas (1 - 1).
Et si tu as la faiblesse de penser qu'en me réservant un traitement de faveur, ça réduira ma volonté de critiquer - y compris en étant sentencieux - de m'amuser (parce que rien de tout cela n'est grave), voire de me moquer quand je le juge opportun à cause de ma nature rieuse, JE-LE-FERAI.
Habitue-toi ou ignore-moi.