Maintenant, vous allez les poser sur la table !

[Mr Sven]

Cartier avait une série de combien de matchs sans victoires en 2014?

18 !

Il serait intéressant de connaître le nombre de victoire depuis mars 2021. On doit être Ridicule

Ben c'est pas compliqué il y en a 3.

[Mass14]

Franchement sur le papier Cartier et Hinschberger avaient des équipes bien plus faibles qu’Antonetti.
Quand faute de mieux tu dois faire jouer des Selimovic, des Phillips, des N’daw qu’est-ce que tu peux faire…

Tout à fait d'accord, les effectifs ne sont pas du tout comparable...

D'ailleurs quand on revoit l'effectif de Cartier ça fait peur https://www.fcmetz.com/effectif/2014-2015/equipe-pro

[Amsalem]

Lyon-Metz approche, une dernière occasion pour les/des joueurs de prouver qu’ils sont plus que des coquilles vides. Parce que vous êtes malades, une chute de fièvre n’exclut pas, quelques heures plus tard, que le thermomètre s’affole à nouveau.
En une semaine, vous avez montré les deux versants de l’Homme.

Celui qui se dresse, qui lutte, qui tente et espère, qui a la noblesse du collectif en ligne de mire.
Face à Lorient, comme d’autres, dès les premières minutes – j’ai des exemples factuels en tête, j’ai vu des regards, des visages, j’ai vu des corps prêts à ne rien lâcher. Le langage corporel comme comme miroir de l'âme. Je me suis alors dit « Tiens, on va peut-être se faire limer, mais on le fera les armes à la main ». C’était une version footeuse de l’œil du Tigre, un truc dans l’atmosphère qui te dit qu’enfin, tu vas voir des valeurs en action.
Du bol, du c**, de la chance, tout ce que vous voulez, mais les intentions ont fait que.

Au stade, j’ai revu des sourires, des visages détendus, des gosses et des grands gosses heureux, c’est c** mais ça faisait plaisir. Dans ces moments de joie, se mettre un peu en retrait, observer, humer, s’imprégner du moment, parce dans le fond, tu sais qu’il ne dure qu’un temps.
Quand tu repars, t’es léger, t’as beau avoir une semaine de chien, c’est fou ce que des types en short et crampons arrivent à te faire. T’as l’impression d’être dans un film de Noël sur Netflix, ou un téléfilm niais sur M6, mais tu t’en branles, t’apprécies.

Et quelques jours plus tard, le Yang. Moins de caméras, un terrain dégueulasse, moins de tout surtout et une sortie par la (toute) petite porte.
A quelques jours de Noël, plus qu’au peuple des tribunes, les joueurs ne devraient, à mon humble sens, ne se poser qu’une question : Quel visage veulent-ils montrer ? Est-ce celui du renoncement, de ma gueule rien que ma gueule, de la passivité la plus désespérante ? Ou bien, en ce temps qui se veut fraternel, celui de la gratitude d’être en vie, d’avoir un job rêvé par des millions d’êtres humains, le visage qui exprime celui ou celle qui a fait son max, qui s’est dépouillé-e pour une ambition plus grande que lui, plus grande qu'elle, qui a juste fait de son mieux (mais vraiment de son mieux) ?

Le plus beau cadeau de Noël, on le fait pour les autres, mais, joie du don, on se le fait aussi à soi.
Aux joueurs de savoir ce qui est essentiel à leurs yeux, la fraternité des cœurs ou leur nombril.

[david7]

Franchement sur le papier Cartier et Hinschberger avaient des équipes bien plus faibles qu’Antonetti.
Quand faute de mieux tu dois faire jouer des Selimovic, des Phillips, des N’daw qu’est-ce que tu peux faire…

Tout à fait d'accord, les effectifs ne sont pas du tout comparable...

D'ailleurs quand on revoit l'effectif de Cartier ça fait peur https://www.fcmetz.com/effectif/2014-2015/equipe-pro

Y’a quand même Cornet, Malouda, N’Gbakoto et Bouna Sarr…

[patrick57]

Tout à fait d'accord, les effectifs ne sont pas du tout comparable...

D'ailleurs quand on revoit l'effectif de Cartier ça fait peur https://www.fcmetz.com/effectif/2014-2015/equipe-pro

Y’a quand même Cornet, Malouda, N’Gbakoto et Bouna Sarr…

GuidoMilan Udol Metanire Doukoure Marschall Rivierez.Lejeune
C'était quand même pas si mal non?

[Billou Grenat]

Lyon-Metz approche, une dernière occasion pour les/des joueurs de prouver qu’ils sont plus que des coquilles vides. Parce que vous êtes malades, une chute de fièvre n’exclut pas, quelques heures plus tard, que le thermomètre s’affole à nouveau.
En une semaine, vous avez montré les deux versants de l’Homme.

Celui qui se dresse, qui lutte, qui tente et espère, qui a la noblesse du collectif en ligne de mire.
Face à Lorient, comme d’autres, dès les premières minutes – j’ai des exemples factuels en tête, j’ai vu des regards, des visages, j’ai vu des corps prêts à ne rien lâcher. Le langage corporel comme comme miroir de l'âme. Je me suis alors dit « Tiens, on va peut-être se faire limer, mais on le fera les armes à la main ». C’était une version footeuse de l’œil du Tigre, un truc dans l’atmosphère qui te dit qu’enfin, tu vas voir des valeurs en action.
Du bol, du c**, de la chance, tout ce que vous voulez, mais les intentions ont fait que.

Au stade, j’ai revu des sourires, des visages détendus, des gosses et des grands gosses heureux, c’est c** mais ça faisait plaisir. Dans ces moments de joie, se mettre un peu en retrait, observer, humer, s’imprégner du moment, parce dans le fond, tu sais qu’il ne dure qu’un temps.
Quand tu repars, t’es léger, t’as beau avoir une semaine de chien, c’est fou ce que des types en short et crampons arrivent à te faire. T’as l’impression d’être dans un film de Noël sur Netflix, ou un téléfilm niais sur M6, mais tu t’en branles, t’apprécies.

Et quelques jours plus tard, le Yang. Moins de caméras, un terrain dégueulasse, moins de tout surtout et une sortie par la (toute) petite porte.
A quelques jours de Noël, plus qu’au peuple des tribunes, les joueurs ne devraient, à mon humble sens, ne se poser qu’une question : Quel visage veulent-ils montrer ? Est-ce celui du renoncement, de ma gueule rien que ma gueule, de la passivité la plus désespérante ? Ou bien, en ce temps qui se veut fraternel, celui de la gratitude d’être en vie, d’avoir un job rêvé par des millions d’êtres humains, le visage qui exprime celui ou celle qui a fait son max, qui s’est dépouillé-e pour une ambition plus grande que lui, plus grande qu'elle, qui a juste fait de son mieux (mais vraiment de son mieux) ?

Le plus beau cadeau de Noël, on le fait pour les autres, mais, joie du don, on se le fait aussi à soi.
Aux joueurs de savoir ce qui est essentiel à leurs yeux, la fraternité des cœurs ou leur nombril.

Très belle prose comme d'habitude mais en ce qui concerne l'essentiel à leurs yeux j'ai malheureusement bien peur que ce soit leur nombril ...

[Expatrié12]

Lyon-Metz approche, une dernière occasion pour les/des joueurs de prouver qu’ils sont plus que des coquilles vides. Parce que vous êtes malades, une chute de fièvre n’exclut pas, quelques heures plus tard, que le thermomètre s’affole à nouveau.
En une semaine, vous avez montré les deux versants de l’Homme.

Celui qui se dresse, qui lutte, qui tente et espère, qui a la noblesse du collectif en ligne de mire.
Face à Lorient, comme d’autres, dès les premières minutes – j’ai des exemples factuels en tête, j’ai vu des regards, des visages, j’ai vu des corps prêts à ne rien lâcher. Le langage corporel comme comme miroir de l'âme. Je me suis alors dit « Tiens, on va peut-être se faire limer, mais on le fera les armes à la main ». C’était une version footeuse de l’œil du Tigre, un truc dans l’atmosphère qui te dit qu’enfin, tu vas voir des valeurs en action.
Du bol, du c**, de la chance, tout ce que vous voulez, mais les intentions ont fait que.

Au stade, j’ai revu des sourires, des visages détendus, des gosses et des grands gosses heureux, c’est c** mais ça faisait plaisir. Dans ces moments de joie, se mettre un peu en retrait, observer, humer, s’imprégner du moment, parce dans le fond, tu sais qu’il ne dure qu’un temps.
Quand tu repars, t’es léger, t’as beau avoir une semaine de chien, c’est fou ce que des types en short et crampons arrivent à te faire. T’as l’impression d’être dans un film de Noël sur Netflix, ou un téléfilm niais sur M6, mais tu t’en branles, t’apprécies.

Et quelques jours plus tard, le Yang. Moins de caméras, un terrain dégueulasse, moins de tout surtout et une sortie par la (toute) petite porte.
A quelques jours de Noël, plus qu’au peuple des tribunes, les joueurs ne devraient, à mon humble sens, ne se poser qu’une question : Quel visage veulent-ils montrer ? Est-ce celui du renoncement, de ma gueule rien que ma gueule, de la passivité la plus désespérante ? Ou bien, en ce temps qui se veut fraternel, celui de la gratitude d’être en vie, d’avoir un job rêvé par des millions d’êtres humains, le visage qui exprime celui ou celle qui a fait son max, qui s’est dépouillé-e pour une ambition plus grande que lui, plus grande qu'elle, qui a juste fait de son mieux (mais vraiment de son mieux) ?

Le plus beau cadeau de Noël, on le fait pour les autres, mais, joie du don, on se le fait aussi à soi.
Aux joueurs de savoir ce qui est essentiel à leurs yeux, la fraternité des cœurs ou leur nombril.

Joueurs si vous lisez ! a vous de jouer

[Amsalem]

Le Père Noël n’est pas encore passé.
Par contre, en plus des chaussettes à la C** made in US accrochées à la cheminée, le gros bonhomme rouge et blanc ne pourra pas dire que les mômes messins n’ont pas décoré le sapin.
Evidemment, celui-ci, c’est pas du premier choix, il tire un peu la gueule, t’as l’impression d’une niaiserie (ouais, je regarde, j’avoue) sur Netflix où le père, peu dans l’esprit de Noël, se réveille par magie (de Noël, donc) sur le tard et ne trouve plus qu’un arbre en fin de vie.
Certains ont des arbres qui ont toujours la même allure, tu croirais que c’est du Line Renaud.
Le nôtre, il a été coupé à Tchernobyl, un peu à la chie-dedans, mais finalement, il fait son office.
C’est vrai, tu te dis que pour entonner « Mon beau sapin », vaut mieux s’être mis une mine au vin chaud. C’est plus Tino Rosé que Tino Rossi.
Par contre, les boules, c’est clairement toute la famille qui les a posées sur le sapin. A l’ancienne.
Bon, t’avais pas les cookies et le verre de lait comme l’année passée, quand un mec qui avait prévu un message - avec une faute – en anglais m’avait fait vivre des instants suspendus, mais l’essentiel y est : du courage, de l’abnégation, des moments parfois héroïques comme sur ce sauvetage où, par notre écrans interposés, on a toutes et tous un peu participé au miracle (de Noël, t’as compris le truc).
Lui à se lever, à poser sa bière en travers de l’écran en gueulant sur le clébard, le gosse qui fait ch*** à passer alorsquepapaluiilfaitdestrucsimportantsbordelKevindégage, elle son chiffon (bronca – justifiée - dans la salle, on entend des « Vas-y ftg sale fdp ») qu’elle balance contre la TV.
La parole peut tromper, le corps plus difficilement.
Et là, comme face à Lorient, comme disent les djeuns, je les ai sentis déter.
Pas à mettre le traineau au milieu des buts de Caillard, à jouer les victimes s’en allant gaiement expier la merdasse qui colle aux bottes lyonnaises depuis des semaines. Pas du genre à bouffer la dinde dans la cuisine, comme papy et mamie, alors que la bande à Aulas se remplirait la panse dans le salon.
Non, on a posé les boules sagement sur le sapin et il est hors de question de se faire ramoner la cheminée par un club qui a des cornes.
Le Père Noël n’est pas passé. Pas encore.
Peut-être nous apportera-t-il un ou deux joueurs qui participeront à exaucer notre souhait d’un maintien dans quelques mois. En tout cas, ce que j’ai vu ce soir, dans les regards qui se croisent, les attitudes qui participent d’un même flux qui (enfin) fait chaud au cœur, dans cette envie de se mettre (ensemble) minable, c’est déjà une promesse, sans doute encore fragile : on se prendra encore des bûches, tu le sais, je le sais, on le sait, mais si l'on doit mourir, on le fera la scie à la main.
Et comme tout film de Noël, notre histoire de ce soir se termine en chanson.
Pas de douce nuit, mais un sonore...« Lutin de Nancéien ! ».

[Nico]

Le Père Noël n’est pas encore passé.
Par contre, en plus des chaussettes à la C** made in US accrochés à la cheminée, le gros bonhomme rouge et blanc ne pourra pas dire que les mômes messins n’ont pas décoré le sapin.
Evidemment, celui-ci, c’est pas du premier choix, il tire un peu la gueule, t’as l’impression d’une niaiserie (ouais, je regarde, j’avoue) sur Netflix où le père, peu dans l’esprit de Noël, se réveille par magie (de Noël, donc) sur le tard et ne trouve plus qu’un arbre en fin de vie.
Certains ont des arbres qui ont toujours la même allure, tu croirais que c’est du Line Renaud.
Le nôtre, il a été coupé à Tchernobyl, un peu à la chie-dedans, mais finalement, il fait son office.
C’est vrai, tu te dis que pour entonner « Mon beau sapin », vaut mieux s’être mis une mine au vin chaud. C’est plus Tino Rosé que Tino Rossi.
Par contre, les boules, c’est clairement toute la famille qui les a posées sur le sapin. A l’ancienne.
Bon, t’avais pas les cookies et le verre de lait comme l’année passée, quand un mec qui avait prévu un message - avec une faute – en anglais m’avait fait vivre des instants suspendus, mais l’essentiel y est : du courage, de l’abnégation, des moments parfois héroïques comme sur ce sauvetage où, par notre écrans interposés, on a toutes et tous un peu participé au miracle (de Noël, t’as compris le truc).
Lui à se lever, à poser sa bière en travers de l’écran en gueulant sur le clébard, le gosse qui fait ch*** à passer alorsquepapaluiilfaitdestrucsimportantsbordelKevindégage, elle son chiffon (bronca – justifiée - dans la salle, on entend des « Vas-y ftg sale fdp ») qu’elle balance contre la TV.
La parole peut tromper, le corps plus difficilement.
Et là, comme face à Lorient, comme disent les djeuns, je les ai sentis déter.
Pas à mettre le traineau au milieu des buts de Caillard, à jouer les victimes s’en allant gaiement expier la merdasse qui colle aux bottes lyonnaises depuis des semaines. Pas du genre à bouffer la dinde dans la cuisine, comme papy et mamie, alors que la bande à Aulas se remplirait la panse dans le salon.
Non, on a posé les boules sagement sur le sapin et il est hors de question de se faire ramoner la cheminée par un club qui a des cornes.
Le Père Noël n’est pas passé. Pas encore.
Peut-être nous apportera-t-il un ou deux joueurs qui participeront à exaucer notre souhait d’un maintien dans quelques mois. En tout cas, ce que j’ai vu ce soir, dans les regards qui se croisent, les attitudes qui participent d’un même flux qui (enfin) fait chaud au cœur, dans cette envie de se mettre (ensemble) minable, c’est déjà une promesse, sans doute encore fragile : on se prendra encore des bûches, tu le sais, je le sais, on le sait, mais si l'on doit mourir, on le fera la scie à la main.
Et comme tout film de Noël, notre histoire de ce soir se termine en chanson.
Pas de douce nuit, mais un sonore...« Lutin de Nancéien ! ».

Hahaha (ou plutôt hohoho) excellent ! Merci

[aliosha]

Le Père Noël n’est pas encore passé.
Par contre, en plus des chaussettes à la C** made in US accrochés à la cheminée, le gros bonhomme rouge et blanc ne pourra pas dire que les mômes messins n’ont pas décoré le sapin.
Evidemment, celui-ci, c’est pas du premier choix, il tire un peu la gueule, t’as l’impression d’une niaiserie (ouais, je regarde, j’avoue) sur Netflix où le père, peu dans l’esprit de Noël, se réveille par magie (de Noël, donc) sur le tard et ne trouve plus qu’un arbre en fin de vie.
Certains ont des arbres qui ont toujours la même allure, tu croirais que c’est du Line Renaud.
Le nôtre, il a été coupé à Tchernobyl, un peu à la chie-dedans, mais finalement, il fait son office.
C’est vrai, tu te dis que pour entonner « Mon beau sapin », vaut mieux s’être mis une mine au vin chaud. C’est plus Tino Rosé que Tino Rossi.
Par contre, les boules, c’est clairement toute la famille qui les a posées sur le sapin. A l’ancienne.
Bon, t’avais pas les cookies et le verre de lait comme l’année passée, quand un mec qui avait prévu un message - avec une faute – en anglais m’avait fait vivre des instants suspendus, mais l’essentiel y est : du courage, de l’abnégation, des moments parfois héroïques comme sur ce sauvetage où, par notre écrans interposés, on a toutes et tous un peu participé au miracle (de Noël, t’as compris le truc).
Lui à se lever, à poser sa bière en travers de l’écran en gueulant sur le clébard, le gosse qui fait ch*** à passer alorsquepapaluiilfaitdestrucsimportantsbordelKevindégage, elle son chiffon (bronca – justifiée - dans la salle, on entend des « Vas-y ftg sale fdp ») qu’elle balance contre la TV.
La parole peut tromper, le corps plus difficilement.
Et là, comme face à Lorient, comme disent les djeuns, je les ai sentis déter.
Pas à mettre le traineau au milieu des buts de Caillard, à jouer les victimes s’en allant gaiement expier la merdasse qui colle aux bottes lyonnaises depuis des semaines. Pas du genre à bouffer la dinde dans la cuisine, comme papy et mamie, alors que la bande à Aulas se remplirait la panse dans le salon.
Non, on a posé les boules sagement sur le sapin et il est hors de question de se faire ramoner la cheminée par un club qui a des cornes.
Le Père Noël n’est pas passé. Pas encore.
Peut-être nous apportera-t-il un ou deux joueurs qui participeront à exaucer notre souhait d’un maintien dans quelques mois. En tout cas, ce que j’ai vu ce soir, dans les regards qui se croisent, les attitudes qui participent d’un même flux qui (enfin) fait chaud au cœur, dans cette envie de se mettre (ensemble) minable, c’est déjà une promesse, sans doute encore fragile : on se prendra encore des bûches, tu le sais, je le sais, on le sait, mais si l'on doit mourir, on le fera la scie à la main.
Et comme tout film de Noël, notre histoire de ce soir se termine en chanson.
Pas de douce nuit, mais un sonore...« Lutin de Nancéien ! ».

J'adore