[RL] Laszlo Bölöni après la défaite du FC Metz contre Lyon: « Toutes les défaites sont frustrantes »

[Przemysl.]

Ah, parce qu'il y est prêté attention dans les entreprises ? Lorsque tu es salarié, tu es un outil de production et avant tout un numéro.

Je parlais pour ma part, du facteur humain expliquant la chute de morale à l'égalisation lyonnaise.

Cette chute morale est logique. Cette équipe est jeune, avec trop peu de tauliers avec du tempérament pour les encadrer. Un seul vrai leader à mon sens (Traoré) et il était absent.

[Jeanmich57]

Ah, parce qu'il y est prêté attention dans les entreprises ? Lorsque tu es salarié, tu es un outil de production et avant tout un numéro.

Je parlais pour ma part, du facteur humain expliquant la chute de morale à l'égalisation lyonnaise.

C'est là à mon sens le manque du coach. Dans le vestiaire, il doit remobiliser les joueurs. Or ils avaient la peur au ventre en rentrant sur le terrain.

[Lakota_FFI]

Je parlais pour ma part, du facteur humain expliquant la chute de morale à l'égalisation lyonnaise.

C'est là à mon sens le manque du coach. Dans le vestiaire, il doit remobiliser les joueurs. Or ils avaient la peur au ventre en rentrant sur le terrain.

Un coach qui sort de 10 défaites d'affilées

Qui sort des interviews lunaire, ne peut pas re mobiliser un groupe.

Mis a part du sang neuf et je parle pas de Delmotte, ce groupe ne pourra pas avoir un souffle nouveau

[Matthew]

Je ne retrouve pas de logique sportive au comportement de Metz sur les deux dernières années.
J'ai plutôt l'impression que la logique est actuellement purement "financière". Si on regarde par cet angle de vue, Dreossi a rempli correctement sa tache : ventes de joueurs optimisées, pas de prise de risque financière (ex de recrutement payant, le licenciement de Boloni et de son staff qui "couterait trop cher")...

C'est plutôt ces questions qui me traversent :
- Peut être que Bernard Serin souhaite passer la main dans les meilleures conditions possibles?
- Peut être qu'il est aussi un peu usé par ces échecs répétés à maintenir le club en L1? (et cela serait compréhensible)? Il remarque peut être qu'il n'y arrive pas, qu'il n'a pas les solutions...
- Peut être que le cout financier des infrastructures et de la formation est trop conséquent dans le fonctionnement du club?

Ce qui me pèse et c'est le cas de beaucoup de supporters grenats, c'est ce fatalisme ambiant. On sait que l'on y va tout droit (en L2) et rien ne se passe. On coule paisiblement, sans trop de réactions. On revoit tourner sur les réseaux sociaux l'intervention devant la presse de Frédéric Hantz lors de l'avant dernière descente, qui stigmatisait l'absence de réaction des décideurs / responsables. Nous n'avons pas vu d'ultimatum de la direction vis à vis du staff, pas d'intervention dans la presse ou dans les médias...

La seule "réaction", c'est ce dérapage de Boloni suite aux questions du journaliste de Canal+ le week end dernier (et encore, on n'a pas tout le contexte pour juger). En sachant que cette "réaction" intervient plus suite à un questionnement sur son avenir personnel et pas sur l'échec collectif de ce groupe. Je doute que les joueurs du club ont pleine conscience de la situation.

[Przemysl.]

- Peut être qu'il est aussi un peu usé par ces échecs répétés à maintenir le club en L1? (et cela serait compréhensible)? Il remarque peut être qu'il n'y arrive pas, qu'il n'a pas les solutions...

Perso, je pense qu'il s'est lui posé des problèmes avec son conseiller de l'ombre et son directeur sportif du XXème siècle.

[Przemysl.]

On revoit tourner sur les réseaux sociaux l'intervention devant la presse de Frédéric Hantz lors de l'avant dernière descente, qui stigmatisait l'absence de réaction des décideurs / responsables. Nous n'avons pas vu d'ultimatum de la direction vis à vis du staff, pas d'intervention dans la presse ou dans les médias...

Je viens de réécouter l'interview de Frédéric Hantz après la relégation. On est sensiblement dans la même situation. Sauf que Boloni n'osera jamais dire ce qu'à dit Hantz. Et comme l'a dit Fred Hantz "ne rien dire, c'est consentir".