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Les « autorités » confondent des tests PCR à 40-45 cycles d’amplification avec des cas diagnostiqués de COVID-19 ! COVID 19 : l’imposture Malgré les nombreux appels à la raison lancés par différentes personnalités du monde médical et scientifique, malgré des recherches mondiales tendant à prouver que l’épidémie est terminée, que le virus a muté, le gouvernement maintient une pression quotidienne à grands renforts de spots alarmistes, pénétrant un peu plus chaque jour dans notre vie privée et nous préparant à une vaccination. La peur s’est installée grâce à un conditionnement quotidien, une culpabilisation et des sanctions. Les patrons, les employeurs demandent des tests comme garanties d’agir en bons soldats et font du chantage à l’emploi, faisant fi du secret médical. Des files d’attente se forment ainsi pour des tests qui, dans l’immense majorité des cas, ne servent à rien, la plupart des personnes étant asymptomatiques; les gens observent avec méfiance ceux qui ne respecteraient pas le port du masque à l’extérieur, alors même que son utilité est quasi nulle (Swiss Policy Research). Ces nouvelles habitudes rentent dans les mœurs. Nous sommes les grenouilles de l’expérience de Friedrich Gold: Gold testait la rapidité du système nerveux des grenouilles en leur infligeant un stress, à savoir faire monter la température de l’eau dans laquelle elles étaient trempées. Si la température montait brutalement, la grenouille s’échappait. En chauffant l’eau très graduellement, la grenouille se laissait cuire sans bouger et on la retrouvait morte. Nous pouvons craindre que le feu soit doucement allumé depuis mars par un gouvernement peu soucieux de notre santé. Notre monde devient inhumain : les patients malades atteints de pathologies graves qui vont mourir sont évités, y compris par leurs proches, pour leur bien évidemment, et ils vivent leurs derniers moments dans le plus grand isolement ; les personnes âgées, sous prétexte de protection toujours, doivent être évitées… on les prive de ce dont elles ont le plus besoin. Qu’elles meurent de tristesse est permis, mais surtout pas du virus. Nous sommes sous emprise, ne parvenons plus à réfléchir, nous nous laissons manipuler au point de nous transformer en grenouille. Restreindre nos libertés, sur quel fondement ? Si les décisions de restrictions de nos libertés ne sont pas scientifiquement ou médicalement justifiées, elles ne peuvent être que politiques. Le port du masque est une tentative de muselage des populations : pas de preuve scientifique de son efficacité ; de plus, à regarder l’usage qui en est fait le plus souvent, (il est plié, mis, enlevé, remis, rangé dans une poche de jean), il serait rendu rapidement inopérant. Le masque est inefficace, et il est dangereux : les témoignages sont nombreux qui rapportent allergies, problèmes respiratoires divers, migraines. Il est vrai que réaliser une journée dans des conditions de privation d’oxygène est risqué. On permet ainsi à des élèves masqués d’en fréquenter 35 autres également masqués chaque jour pendant 8 heures mais on interdit les regroupements privés de plus de 10 personnes. Dans les restaurants, on permet aux clients assis d’enlever leur masque mais on impose à ceux qui sont debout ou se déplacent de le mettre etc. Il n’y a plus aucune intelligence visible dans cette accumulation anarchique de règles délirantes dites sanitaires, il n’y a plus que l’arbitraire. Un proche me disait qu’il avait été arrêté dans la rue car son masque n’était pas positionné correctement. Quelle est cette police des mœurs qui émerge, digne des polices islamiques des Ayatollah iraniens ou des talibans afghans? « Depuis le 1er mai, comme le confirment les données récentes, on ne constate plus en France d’excédent de mortalité par rapport à 2019, et un excédent minime par rapport à 2018 (+1%). » (statistiques INSEE) La dictature sanitaire : Le projet est déjà bien engagé, la vaccination des professionnels de santé contre la grippe étant d’ores et déjà annoncée. En sera-t-il de même pour le Covid quand, demain, il faudra écouler le vaccin contre un virus alors qu’il a déjà disparu ? Car il faudra bien que les laboratoires aient un retour sur investissement. Le corps des soignants appartient-il au gouvernement, aux laboratoires ? Osons une petite prospection, le gouvernement en fait bien depuis le début de cette crise en annonçant tous les 15 jours l’arrivée de la deuxième vague depuis avril : la pente idéologique nous conduit prochainement au passeport sanitaire, à la vaccination obligatoire… les non-vaccinés, prière de porter une étoile (je vous laisse le choix de la couleur). Les applications de traçage permettront d’interdire de rentrer dans les lieux publics à ceux qui, non vaccinés, ne sont pas de bons citoyens. A l’aide de votre smartphone et de votre carte vitale, la surveillance sera totale. Ces gens qui nous gouvernent n’étant pas stupides et disposant des mêmes chiffres que nous, nous pouvons craindre le pire pour nos droits fondamentaux. Un premier pas de raison serait de mettre fin immédiatement à l’état d’urgence, de rouvrir les lieux de convivialité qui ont été fermés, de rendre facultatif le port du masque l’extérieur, d’arrêter de tester les personnes asymptomatiques.
Ce sujet est par définition hors charte ( société, politique etc ) et nous l'avons déja abordé lors de la 1e vague
on n'ira pas plus loin.
Merci
Covid-19 (acte 2)
- moms68
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Re: Covid-19 (acte 2)
Oh la vache !
Tu devais faire partie de ceux qui nous expliquaient que la grippe faisait plus de mort chaque année ? Que la chloroquine était efficace mais que le gouvernement le cachait afin de permettre aux laboratoires de vendre un traitement plus onéreux ? Qu'il n'y aurait pas de deuxième vague, déjà que la première n'en était pas vraiment une ?
Tu devais faire partie de ceux qui nous expliquaient que la grippe faisait plus de mort chaque année ? Que la chloroquine était efficace mais que le gouvernement le cachait afin de permettre aux laboratoires de vendre un traitement plus onéreux ? Qu'il n'y aurait pas de deuxième vague, déjà que la première n'en était pas vraiment une ?
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