En lice pour le post de l'annéeGlouglou a écrit : Toutes mes gonzesses ont porté le prénom Cactus.


En lice pour le post de l'annéeGlouglou a écrit : Toutes mes gonzesses ont porté le prénom Cactus.
J’avoue que j’ai ri aussi…^^InSerinWeTrust a écrit :J'ai ri, mais j'ai ri! Merci Il Glouglou del AmoreGlouglou a écrit : Toutes mes gonzesses ont porté le prénom Cactus.
Nom et prénom, donc.Pierre-lost-in-Paris a écrit : Partout où je passe j'ai un homonyme :
- dans ma famille (un grand oncle)
- dans mon école d'ingénieurs (et fait marrant, il était dans la classe de ma compagne donc, elle le connaissait avant de me connaître moi)
- dans ma première entreprise
- dans mon entreprise actuelle (Coup de bol, c'est moi qui ai eu à chaque fois le mail sans chiffre dans les trois dernier cas, même en entreprise ou j'ai été les deux fois embauché en second)
- dans mon village actuel (de 2500 habitants, et bien-sûr pas de ma famille même éloignée)
Qu'il est bonGlouglou a écrit : Toutes mes gonzesses ont porté le prénom Cactus.
Pareil avec pas de politique ! , mais y avait qu'un seul grain de raisin.Lorange a écrit : Je préfère prévenir les lecteurs : les faits que je vais exposer ici sont particulièrement éprouvant pour les âmes sensibles.
Rentrant du théâtre, j'apprends hier soir tardivement la mort de David Lynch. Je me couche, pas vraiment attristé par la disparition du Monsieur (je suis partagé sur ses œuvres), me gardant la lecture du long article qui lui est consacré au lendemain matin. Ce matin donc.
Pour mon petit-déjeuner je privilégie depuis longtemps le müesli. Ça n'est honnêtement pas très appétissant, le müesli. Fade, un léger goût poussiéreux, rêche pour le gosier mais tellement bon pour la santé. Mais il y a la compensation, le modeste plaisir sucré qui rend ce rituel acceptable : les nombreux grains de raisin qui l'agrémentent. Dès potron-minet j'entame donc de concert la lecture de mon article consacré à Lynch et la dégustation - appelons ça comme ça - de mon müesli additionné de fromage blanc (de brebis, le fromage blanc, moins gras, plus digeste et pareillement riche en calcium).
Mon regard va de la photo de David Lynch, illustrant l'article du journal, au bol de céréales. Pour un peu David Lynch semblerait m'observer de ces yeux inquisiteurs, me reprochant mon manque d'admiration inconditionnelle pour son œuvre. C'est alors que je m'aperçois au même moment et avec effroi que mes grains de raisins tant appréciés sont quasiment absents du bol. Deux grains seuls sont là, paraissant me percer du regard très exactement comme le font ceux de David Lynch : "Comment ça, mon cinéma ne te passionne pas ?" Ces yeux dans mon bol de céréales, quelle horreur ! Refusant de céder à la terreur, j'ai pourtant goulûment englouti les céréales ET les yeux-raisin, défiant en quelque sorte le maître du 7ème art.
Depuis j'entends cette voix qui hurle dans ma tête : « This is a damn fine cup of müesli ». Je ne saisis pas la portée de cette phrase ni comment m'en débarrasser. Quelqu'un pour m'éclairer ?
une cure de désintoxication...Lorange a écrit : Depuis j'entends cette voix qui hurle dans ma tête : « This is a damn fine cup of müesli ». Je ne saisis pas la portée de cette phrase ni comment m'en débarrasser. Quelqu'un pour m'éclairer ?
Je l'avais pas lu celle là, excellenteLorange a écrit : Je préfère prévenir les lecteurs : les faits que je vais exposer ici sont particulièrement éprouvant pour les âmes sensibles.
Rentrant du théâtre, j'apprends hier soir tardivement la mort de David Lynch. Je me couche, pas vraiment attristé par la disparition du Monsieur (je suis partagé sur ses œuvres), me gardant la lecture du long article qui lui est consacré au lendemain matin. Ce matin donc.
Pour mon petit-déjeuner je privilégie depuis longtemps le müesli. Ça n'est honnêtement pas très appétissant, le müesli. Fade, un léger goût poussiéreux, rêche pour le gosier mais tellement bon pour la santé. Mais il y a la compensation, le modeste plaisir sucré qui rend ce rituel acceptable : les nombreux grains de raisin qui l'agrémentent. Dès potron-minet j'entame donc de concert la lecture de mon article consacré à Lynch et la dégustation - appelons ça comme ça - de mon müesli additionné de fromage blanc (de brebis, le fromage blanc, moins gras, plus digeste et pareillement riche en calcium).
Mon regard va de la photo de David Lynch, illustrant l'article du journal, au bol de céréales. Pour un peu David Lynch semblerait m'observer de ces yeux inquisiteurs, me reprochant mon manque d'admiration inconditionnelle pour son œuvre. C'est alors que je m'aperçois au même moment et avec effroi que mes grains de raisins tant appréciés sont quasiment absents du bol. Deux grains seuls sont là, paraissant me percer du regard très exactement comme le font ceux de David Lynch : "Comment ça, mon cinéma ne te passionne pas ?" Ces yeux dans mon bol de céréales, quelle horreur ! Refusant de céder à la terreur, j'ai pourtant goulûment englouti les céréales ET les yeux-raisin, défiant en quelque sorte le maître du 7ème art.
Depuis j'entends cette voix qui hurle dans ma tête : « This is a damn fine cup of müesli ». Je ne saisis pas la portée de cette phrase ni comment m'en débarrasser. Quelqu'un pour m'éclairer ?
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