John Dimett a écrit :OKSebathan a écrit ::nul:
On taquine pas sur MegaDave
Mustaine a mal vieilli. C'est moche
Le topic du hard rock, metal et derivés !
- Piou
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Re: Le topic du hard rock, metal et derivés !
Re: Le topic du hard rock, metal et derivés !
Et encore, t'as pas écouté la musique...Piou a écrit :Mustaine a mal vieilli. C'est moche

- Piou
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Re: Le topic du hard rock, metal et derivés !
Si j'ai écouté un morceau. J'écouterais peut être le reste une fois histoire de me faire une idée. Mais j'aime moins qu'auparavent. Je serais incapable de faire une analyse comme Sebathan mais ça me parle moins que les autres albumsJohn Dimett a écrit :Et encore, t'as pas écouté la musique...Piou a écrit :Mustaine a mal vieilli. C'est moche
- Sebathan
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Re: Le topic du hard rock, metal et derivés !
P'tain, le retour de Paradise Lost va faire mal je pense !!
Le dernier single est énorme, ainsi que son clip :
http://www.youtube.com/watch?v=yDXJVd1Z-Bg
Vivement l'album, achat obligatoire une fois de plus
Le dernier single est énorme, ainsi que son clip :
http://www.youtube.com/watch?v=yDXJVd1Z-Bg
Vivement l'album, achat obligatoire une fois de plus

- Sebathan
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Re: Le topic du hard rock, metal et derivés !
Quatre bonnes découvertes ce week end :



Bone Gnawer
Feast Of Flesh
2009 | Pulverised Records
» Death Metal
On ne remerciera jamais assez Internet (n'en déplaise à certains), source inépuisable de découvertes musicales mais aussi parfois de groupes dont les membres sont éparpillés à des milliers de kilomètres. L'homme Suédois aux centaines de projets death, Rogga Johansson, revient ainsi quelques mois après la sortie des médiocres Scandinavian Warmachine (Paganizer) et Opus Ribcage (Ribspreader) ainsi que le jouissif Dreadful Pleasures (Revolting). L'hyperactif discutera sur la toile en 2008 avec le fameux américain Kam Lee (Massacre) pour fonder un groupe « on-line » mélangeant habilement influences de Floride et de Stockholm dans l'esprit des années 90. Rejoints par Ronnie Björnström (Ribspreader) à la guitare et Morgan Lie (Nagflar) à la batterie, Bone Gnawer signera chez Pulverised Records pour sortir son premier album Feast Of Flesh.
« Horror Death Metal » diront-ils, l'étiquette me semble tout à fait justifiée. Bone Gnawer joue à fond sa carte de la thématique de films gore/horreurs cultes (ou des pires nanars kitsch de séries Z si vous voulez). Les aficionados trouveront de nombreuses références dans les paroles jouissives ainsi que les samples éparpillés et seront en extases devant leur page Myspace (tout simplement énormissime de mauvais goût). Le décor planté par une intro « porcine », c'est une petite-demi heure de death metal façon old school et groovy à la moelle qui devrait faire bouger ta crinière te tenant horriblement chaud en ces temps caniculaires. Impossible de ne pas taper du pied sur au moins un passage de chaque titre (je défie quiconque de pas réagir face à un « Sliced & Diced », un « Cannibal Cook-Out » ou un « Defleshed And Skinned » !). Le son se veut lourd et chaud, laissant la part belle à la très bonne rythmique du père Lie, bassiste de Naglfar dorénavant mais batteur d'origine (il a joué sur Vittra).
Il faut avouer que le timbre de voix si particulier de Kam Lee est tout de même aussi des plus prenants. Son chant varié (aigu comme grave) colle au poil à cette ambiance cradingue malgré quelques baisses de puissance corrigées de suite par ses acolytes (on retrouvera les poussées gutturales de Rogga) dont les invités Dopi (Machetazo) et Killjoy (Necrophagia). Les guitares sonnent quant à elles typiquement dans l'esprit grind/death des glorieuses années 90 (qui a dit Carcass ou Autopsy ?) avec une base très ancrée suédoise Entombienne/Gravienne (normal, les membres étant Suédois hormis Kam) même si on sent quelques saveurs en provenance de Tampa (Cannibal Corpse en tête). Une demi-heure qui suffira amplement, le soufflet commençant à retomber sur la fin (la musique demeurant assez primaire).
Projet sans prétention, Bone Gnawer et Feast Of Flesh sont les camarades parfaits pour s'éclater la nuque le temps d'une petite demi-heure. L'atmosphère horreur/gore de second degré est parfaitement retranscrite et rajoute un cachet non négligeable à un album qui aurait pu se fondre dans la masse des « revivals » death. Allez on y retourne : « Cannibal Cook-Out !».

Illdisposed
To Those Who Walk Behind Us
2009 | Massacre Records
» Death metal
Revoilà déjà ILLDISPOSED, à peine plus d'un an après la sortie d'un « The Prestige » de fort bonne facture. Mais qu'est-ce qui a bien pu pousser nos danois préférés à reprendre aussi vite le chemin du studio? Un énième changement de label pardi! Après un intermède chez Roadrunner - qui coincide avec la période cyber du groupe – puis un bref passage chez AFM, c'est donc chez Massacre Records que la bande à Bo Summer échoue cette fois ci, leur nouvelle écurie étant réputée pour être un repaire de troisièmes couteaux ou de grosses cylindrées sur le déclin. Une fois n'est pas coutume, c'est avec un line-up inchangé que les membres d'ILLDISPOSED reprennent les choses là où il les avaient laissées sur « The Prestige », à savoir un death groovy et dévastateur à forte dominante mid tempo, les passages rapides étant réduits ici à la portion vraiment congrue.
Le paysage musical n'ayant guère évolué, « To Those Who Walk Behind Us » donne très vite l'impression d'être un « The Prestige » bis, sans qu'on trouve pour autant matière à s'en réjouir totalement. L'album précédent, qui s'ouvrait sur une série de titres à fort potentiel avant de s'essouffler à mi parcours, laisse ici la place à un démarrage diesel qui surprend désagréablement, le groupe nous ayant habitué à faire parler la poudre dès les premières mesures, de « I Believe In Me » à « The Tension » en passant par la speedée « Shine Crazy ». Or, si « Blood On Your Parade » et « For The Record » s'inscrivent dans la droite lignée du classique « There's Something Rotten ... », les petits nouveaux souffrent de la comparaison avec des aînés comme « Psychic Cyclus I-III ». Oh bien sûr, ça reste du ILLDISPOSED pur jus, breaks pachydermiques et aboiements summeriens à l'appui (sans oublier un solo de fortune pour la melodic's touch) mais il n'y a rien ici qu'on n'ait déjà entendu chez eux, et en mieux, sur les albums précédents. Et si la machine s'emballe au démarrage d'un « Come And Get Me » - sur lequel Bo Summer prend des intonations à la Pascal Jourgensen de MASSACRA - dont on espère qu'il signe une montée en puissance dans le tracklisting, il faut en vérité patienter jusqu'à la piste 6 pour s'extraire d'une torpeur certaine, provoquée par un trop plein de riffs génériques répétés jusqu'à l'écoeurement par un Jacob Batten parfois à bout de souffle, même si on trouve toujours un passage digne d'intérêt (une sinistre accélération à 2:27 sur « Seeking Truth Telling Lies », où les samples en arrière plan font merveille) pour éviter une mise à l'écart définitive. Passons donc sur le rugissement de moteur un peu vain de « Sale At The Misery Factory » pour nous attarder sur la deuxième partie du programme, intriguante et accrocheuse à défaut d'être géniale.
Première bonne pioche de « To Those Who Walk Behind Us », un title track à la cadence élevée, qui place sans ménagement la tête de l'auditeur entre le marteau et l'enclume ; propulsé par une orchestration façon Terminator, quelques bidouillages electro et un thème de guitare lead qui marque durablement les esprits, enfin un excellent titre qui aurait gagné à être placé plus en amont dans le tracklisting. Les meilleurs morceaux pour la fin? Voilà qui permet de rester sur une note positive mais à l'heure où la durée de vie d'un album équivaut presque à un passage furtif sur myspace, combien auront tenu jusque là? Reste que quand ILLDISPOSED se décide à enrichir sa palette musicale, bâtie sur une section rythmique de démolisseurs et les vocaux à l'arraché de son fantastique growleur (pas de panique, les variantes black criardes sont toujours de mises), l'album décolle enfin, par séquences, comme sur l'envolée finale de « If All The World », la jouissive accélération sur « This Unscheduled Moment » dès 48 secondes (meilleur riff de l'album) ou encore sur la saisissante « Nu Gik Det Lige Sa Godt », qui voit ILLDISPOSED régler son compte à HEAVEN SHALL BURN après une intro acoustique en trompe l'oeil (et un sample à 2:10 on ne peut plus glauque) sortant des sentiers piétinés par la horde danoise. Une grande réussite finale qui fait regretter que tout l'album ne soit pas du même acabit mais qui permet à « To Those Who Walk Behind Us » de passer du statut de déception légère à celui, plus enviable, de bon petit album. Il s'en est fallu de peu, même si le groupe n'échappera sans doute pas aux commentaires du type pas mal mais ça ne vaut pas un bon vieux “Submit”!.
- Sebathan
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Re: Le topic du hard rock, metal et derivés !

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Resplendent Grotesque
2009 | Tabu Recordings
AVANT-GARDE BLACK METAL
J'ai entendu parler de CODE, jeune groupe britannique/norvégien formé notamment du chanteur de DØDHEIMSGARD et d'Adrian Erlandsson (batteur d'AT THE GATES et ARCH ENEMY) sur un site de Metal d'Avant-Garde sur lequel je m'abreuve parfois. Le chroniqueur flippait. Je devais donc vérifier s'il capotait pour rien…
Ce qu'il y a de bien avec l'Avant-Garde, vous le savez, est la possibilité de découvrir des styles réinventés, ou tout simplement améliorés, grâce au culot des musiciens de ces groupes qui n'ont surtout pas peur que leur ciel leur tombe sur la tête. Les Zicos de CODE ont d'ailleurs été élevés au rang de superstars de l'underground avec leur premier opus, "Nouveau Gloaming", chroniqué sur NiME. "Resplendent Grotesque" est le deuxième album de ces Blackeux et contient des diamants progressifs d'une clarté incongrue pour du Black Metal, qui est son genre « officiel ». Et n'essayez pas de chercher davantage une définition précise de ce que les cosmopolites offrent comme stew. Moi, je me risquerais pour un truc mariant la folie de DØDHEIMSGARD et l'énergie intense et planante du Black Mélodique, suivi de près par un Post/Hardcore aux textures Indus. Pas évident, hein ? C'est pour cela qu'on a inventé le terme « Avant-Garde ».
"The Rattle Of Black Teeth" est d'ailleurs un excellent échantillon avec lequel débuter votre quête « codesque », où la voix unique de Kvohst, autant grave que claire, surfe sur des cordes mixant technicité et virtuosité. Le tout jouissant d'une production et d'un son énorme, sans oublier Erlandsson, qui met à profit son pedigree Death/Black en alternant les tempos.
Ce qu'il y a de sûr avec CODE, c'est qu'il ne suit aucun code de conduite, autant du côté des superbes paroles que de la musique… "In The Privacy Of Your Own Bones" le prouve, avec un départ canon, un riff violent, un refrain lumineux et une finale à la guitare sèche aux teintes orientales. Tout ça dans le même cocon. Merveilleux. Ça ne fait pas que déranger le côté cartésien en chacun de nous, cette structure frêle en titanium, ça fout les boules. Voilà pourquoi les vapeurs de DØDHEIMSGARD flottent un peu partout, car on tangue constamment entre l'expérimentation hasardeuse et le contrôle absolu. Le groupe ne tombe pas dans le ravin en se tirant dans le pied, il accumule les sauts vertigineux précisément calculés sur ce disque hybride.
CODE joue carrément du Post-Hardcore sur certains morceaux, dont "Jesus Fever", sublimé par la fusion de la voix puissante de Kvohst, la gratte acérée d'Aort (il jugule le gus…) et le jeu rapide d'Erlandsson. Frissons garantis, les gros durs ! Idem pour la suivante, "I Hold Your Light", entièrement Post et aérienne. Ouf… Si ce disque est bel et bien Black, mon nom est Gabriel, pas Mefisto. Non mais écoutez cette voix ! Est-elle extirpée des années 70 ou c'est moi qui disjoncte à force de me farcir ce "Resplendent Grotesque" ? La spirale est forte, son œil attire et décontenance, ses soli tourbillonnent dans un azur multicolore… Merci de l'orgasme, "A Sutra Of Wounds"…
CODE est splendidement grotesque, ça oui. Tellement, qu'il a coupé son orgie à 34 minutes ! Trop court. Insultant. Pervers comme médecine. On reste sur notre appétit dès que la vitaminée "The Ascendent Grotesque" achève ses ellipses devant notre cadavre. Bordel que c'est bon. C'est ça l'Avant-Garde. J'ai toutes les misères du monde à déterrer des skeuds pourris de ce genre qui n'en est pas vraiment un. Peut-être est-ce moi qui suis impressionnable devant autant d'audace, mais je ne suis sûrement pas le seul à être témoin de cette nouvelle vague déferlant sur le Metal. CODE est un de ces bâtisseurs et le restera longtemps, j'espère…
Je gage que dans quelques années, tous ces groupes que l'on stationne dans la catégorie Avant-Garde auront leur revanche quand leur style indéfinissable sera enfin baptisé. Ce jour-là, le triomphe du courage, de la ruse et de la vision éclatera.

Exivious
Exivious
2009 | Autoproduction
Fusion/Metal
S'il y a bien un groupe dont on n'attendait plus rien et qui s'est fait oublié, c'est bien EXIVIOUS. Après deux demos sorties au début des années 2000, dont celle de 2001 qui était du pur CYNIC-like d'excellente facture avec du chant à cette époque (ah ce "Where We Belong", quelle tuerie...), le groupe ou plutôt le projet de Tymon Kruidenier n'a plus fait parler de lui malheureusement, tant ces démos étaient prometteuses.
Puis en début d'année 2008, on apprenait que Tymon intégrait le légendaire groupe de Techno-Death CYNIC au poste de second guitariste pour le second et excellent album "Traced In Air". Et comme par magie, le nom d'Exivious a refait surface, curiosité oblige, de quoi assurer un bon coup de pub pour le groupe avec la récente promotion de Tymon, d'autant plus que dans la foulée un premier album était annoncé pour 2009.
Eh oui, on parlera de groupe, puisque pendant toutes ces années de silence, Tymon s'est entouré de musiciens talentueux comme le batteur Stef Broks (Textures), Michel Nienhuis (Sengaia) à la deuxième guitare et de Robin Zielhorst (ex-Blue Man Group) au poste de bassiste.
Alors qu'est-ce que ça donne musicalement après tant d'années? La réponse est simple: les 4 Hollandais définissent eux-mêmes leur musique comme du Fusion/Metal. Certains diront qu'ils ne manquent pas de culot et que ça fait prétentieux, mais les faits sont là, c'est une description parfaite (on est bien loin du blabla inutile des labels, comme quoi la simplicité ça marche). J'irai même plus loin en disant qu'ils pratiquent du Jazz-Fusion influencé par le Metal, avec une cohérence et maîtrise déconcetante.
Si les demos étaient de belles esquisses et posaient les bases, cet album est l'aboutissement final de la vision de Tymon, que de marier ses deux genres fétiches. Et quelle réussite, dès les premières notes de "Ripple Of A Tear" on se retrouve dans un univers nouveau et l'on perd vite ces repères. Ce premier morceau résume à lui seul ce qu'est Exivious en 2009: un jailissement de notes, des guitaristes qui tricotent des riffs techniques chacun de leur côté sur fond de rythmes complexes, un batteur au jeu raffiné et une basse fretless aux lignes trippantes ultra présentes dont un superbe solo au millieu du morceau. Vous rajoutez une tonne de solos et d'improvisations tous plus réussis les uns que les autres ainsi qu'une ambiance plus qu'intriguante, et vous aurez une petite idée d'à quoi vous aurez affaire. Cette avalanche de créativité est assez déconcertante tant il se passe des choses de tous les côtés. On notera un petit côté Allan Holdsworth, ce qui n'a rien de surprenant vu que Tymon vénère cette légende du Jazz-Fusion.
Alors oui, c'est technique et complexe, mais ce qui surprend c'est le côté extrêmement accrocheur de chaque morceau, d'ailleurs les structures sont simples et facilement mémorisables. De même que le feeling fait partie intégrante de la musique. J'en veux pour preuve le catchy "Wave Of Thoughts" au riffing ultra précis et tranchant, où les improvisations s'ajoutent à merveilles tout le long du morceau. Et que dire de ces passages calmes, avec la basse en premier plan, qui vous mettent des frissons. Le contraste est saisisant, surtout quand on enchaîne derrière avec l'alambiqué "The Path". Cette alternance est fort appréciable, elle renforce la cohésion de l'album et met en valeur chaque morceau.
Autre point fort c'est que chaque morceau est différent et reconnaissable durant les premières secondes, à aucun moment on a l'impression d'avoir déjà écouté tel ou tel passage, la marque des grands albums pour moi. "Embrace The Unknow" est une bon exemple, que se soit pour cette savoureuse intro à la basse, mais surtout pour l'extraordinaire apparition de Paul Masvidal (Cynic, Portal, Aeon Spoke) pour un solo lumineux au possible sur des nappes de guitares mystérieuses.
L'ambiance de l'album est aussi une réussite, il y a vraiment quelque chose de fort qui se dégage et le contraste entre les passages lumineux/joyeux et ceux plus sombres/mystérieux est un régal. C'est une éruption d'émotions et sentiments variés à chaque instant. Les deux interludes "All That Surrounds Pt 1" et "All That Surrounds Pt 2", conduits par la basse, nous le prouvent une nouvelle fois.
D'ailleurs c'est l'occasion de parler Robin Zielhorst, qui livre une prestation magistrale à la basse fretless et c'est un pur régal de le voir mis en avant dans le mix où l'on peut apprécier la richesse et la profondeur de son jeu. Si l'album est aussi bon, c'est aussi grâce à lui.
Voici un groupe original, avec une vraie personnalité et qui nous offre un premier album bluffant où l'improvisation est maîtresse et qui fera date à n'en point douter.
Un must tout simplement.
- voodoo child
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- Inscription : 30 août 2009, 12:16
Re: Le topic du hard rock, metal et derivés !
Sinon, le nouveau Van Halen vient de sortir sous l'apparence du super-groupe de Joe Satriani, CHICKENFOOT
avec au casting rien de moins que Chad Smith (Red Hot...), Sammy Hagar et Michael Anthony (Van Halen), ça remue pas mal aussi sur certains titres...
avec au casting rien de moins que Chad Smith (Red Hot...), Sammy Hagar et Michael Anthony (Van Halen), ça remue pas mal aussi sur certains titres...
- Sebathan
- Messages : 3627
- Inscription : 26 août 2009, 22:04
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Re: Le topic du hard rock, metal et derivés !
ah oui, mon cousin m'en avait parlé, jvais voir ce que ça donne tiens !!
- Dark 5.7
- Messages : 9606
- Inscription : 18 août 2009, 13:43
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Re: Le topic du hard rock, metal et derivés !
ah, Illdisposed... le meilleur chant Death de la planète.
mais l'album précédent était meilleur, avec des tueries comme "Weak Is Your God", "Like Cancer", "Love Is Tasted Bitter"...
mon maigre avis développé :
mais l'album précédent était meilleur, avec des tueries comme "Weak Is Your God", "Like Cancer", "Love Is Tasted Bitter"...
mon maigre avis développé :
zsk666.blogspot.com a écrit :Nouvel album pour ces fiers danois et leur "Subwoofer" de génie, Bo Summer. Après un The Prestige plutôt varié mais globalement rentre-dedans, Illdisposed a décidé de réinjecter dans son Death bien lourd une touche de mélodie, qui était déjà bien présente sur There's Something Rotten... In The State Of Denmark et 1-800 Vindication. C'est tout à leur honneur, mais disons que ça me convainc un peu moins, tout du moins aux premières écoutes. L'album a quand même bien moins de patate que The Prestige. Pas de titres de la trempe de "Weak Is Your God", "Like Cancer"ou autre "Love Is Tasted Bitter", néanmoins on a le droit à des perles mélodiques comme "If All the World" et son riff entraînant. To Those Who Walk Behind Us s'étoffe néanmoins au fil des écoutes et s'avère être un album plaisant, moins écrasant, plus "accessible" et agréable à écouter, sans se prendre la tête. Bo Summer y livre encore une fois une prestation saisissante mais moins incisive que par le passé, normal vu que l'album se veut plus mélodique. Les fans hardcore du groupe ne seront pas déçus mais auront probablement une légère préférence pour des albums plus anciens (ah, et inutile de dire que ceux qui sont restés bloqués sur Submit seront déçus...). Au fond, Illdisposed est et restera Illdisposed...
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