(bisou amical)messinmarseille a écrit : Bonjour les messins. De retour après une bonne chirurgie. Je vais me reposer comme jamais. J'aimerais une victoire messine pour incarner le renouveau.
Repose-toi bien !
(bisou amical)messinmarseille a écrit : Bonjour les messins. De retour après une bonne chirurgie. Je vais me reposer comme jamais. J'aimerais une victoire messine pour incarner le renouveau.
Tant que tu ne reposes pas en paix ! Bravo au chirurgien et bravo à toi de surmonter ce méchant machin.messinmarseille a écrit : Bonjour les messins. De retour après une bonne chirurgie. Je vais me reposer comme jamais. J'aimerais une victoire messine pour incarner le renouveau.
Bonne convalescence à toi.messinmarseille a écrit : Bonjour les messins. De retour après une bonne chirurgie. Je vais me reposer comme jamais. J'aimerais une victoire messine pour incarner le renouveau.
Tous mes voeux de rétablissement t'accompagnent.messinmarseille a écrit : Jaime pas attendre une date d'opération quand le risque de séquelles devient de plus en plus important. ***** de tumeur.
Bon reposmessinmarseille a écrit : Bonjour les messins. De retour après une bonne chirurgie. Je vais me reposer comme jamais. J'aimerais une victoire messine pour incarner le renouveau.
Courage à toi. Ceci étant, je pense que ta boite est malheureusement loin d'être unique, et ceci quel que soit le secteur professionnel, public ou privé. C'est l'ensemble du regard de notre société sur le rôle du père par rapport à ses enfants qu'il faudrait changer. Par exemple, en cas de problème, l'école de ma fille contacte systématiquement la maman (alors qu'on leur a toujours précisé que j'étais plus flexible sur les horaires et qu'il valait mieux m'appeler moi). Et lorsqu'à la naissance de ma fille, j'avais souhaité un peu lever le pied pour m'occuper d'elle, j'ai eu droit à des réactions incrédules - limite hostiles - de mes collègues, y compris de certaines collègues femmes. Alors que je suis dans un milieu professionnel soit disant "évolué". Bref, les stéréotypes de genre sur le rôle respectif de l'homme et de la femme ont encore de beaux jours devant eux (je précise à toutes fins utiles que je ne suis pas non plus pour la déconstruction des genresToni Truand a écrit : J’aime pas que le covid frappe encore: deux fêtes de famille gâchées en avril et un gros problème pour faire garder ma fille.
J’aime pas être un père célibataire dans une boîte ou on ne fait rien pour permettre à ses employés de pouvoir bosser et s’occuper de ses enfants.
Concernant les écoles, elles ont les coordonnées des deux parents. Sauf que, lorsque vous remplissez les "papiers", il y a un responsable préférentiel et l'autre. Si ta femme est la responsable préférentielle, rien de fou à ce que l'école l'appelle avant toi.belobog a écrit :Courage à toi. Ceci étant, je pense que ta boite est malheureusement loin d'être unique, et ceci quel que soit le secteur professionnel, public ou privé. C'est l'ensemble du regard de notre société sur le rôle du père par rapport à ses enfants qu'il faudrait changer. Par exemple, en cas de problème, l'école de ma fille contacte systématiquement la maman (alors qu'on leur a toujours précisé que j'étais plus flexible sur les horaires et qu'il valait mieux m'appeler moi). Et lorsqu'à la naissance de ma fille, j'avais souhaité un peu lever le pied pour m'occuper d'elle, j'ai eu droit à des réactions incrédules - limite hostiles - de mes collègues, y compris de certaines collègues femmes. Alors que je suis dans un milieu professionnel soit disant "évolué". Bref, les stéréotypes de genre sur le rôle respectif de l'homme et de la femme ont encore de beaux jours devant eux (je précise à toutes fins utiles que je ne suis pas non plus pour la déconstruction des genresToni Truand a écrit : J’aime pas que le covid frappe encore: deux fêtes de famille gâchées en avril et un gros problème pour faire garder ma fille.
J’aime pas être un père célibataire dans une boîte ou on ne fait rien pour permettre à ses employés de pouvoir bosser et s’occuper de ses enfants.
Pas de responsable préférentiel dans notre école (en tout cas dans les papiers à remplir en début d'année, ce n'est pas indiqué, je sais c'est moi qui les remplis ). On met toujours mon numéro en premier et on dit à l'instit', à la directrice ou aux ATSEM de m'appeler en premier en cas de problème. Mais malgré cela elles appellent toujours ma compagne... qui doit ensuite m'appeler pour que j'aille chercher ma fille. J'ai même eu droit une fois à "on tente d'appeler votre femme depuis 2 heures mais elle ne répond pas... donc on vous appelle" (sous-entendu un peu en désespoir de cause). Moi je trouve ça assez fou tout de mêmeRobertoAlagnole a écrit :Concernant les écoles, elles ont les coordonnées des deux parents. Sauf que, lorsque vous remplissez les "papiers", il y a un responsable préférentiel et l'autre. Si ta femme est la responsable préférentielle, rien de fou à ce que l'école l'appelle avant toi.belobog a écrit :
Courage à toi. Ceci étant, je pense que ta boite est malheureusement loin d'être unique, et ceci quel que soit le secteur professionnel, public ou privé. C'est l'ensemble du regard de notre société sur le rôle du père par rapport à ses enfants qu'il faudrait changer. Par exemple, en cas de problème, l'école de ma fille contacte systématiquement la maman (alors qu'on leur a toujours précisé que j'étais plus flexible sur les horaires et qu'il valait mieux m'appeler moi). Et lorsqu'à la naissance de ma fille, j'avais souhaité un peu lever le pied pour m'occuper d'elle, j'ai eu droit à des réactions incrédules - limite hostiles - de mes collègues, y compris de certaines collègues femmes. Alors que je suis dans un milieu professionnel soit disant "évolué". Bref, les stéréotypes de genre sur le rôle respectif de l'homme et de la femme ont encore de beaux jours devant eux (je précise à toutes fins utiles que je ne suis pas non plus pour la déconstruction des genres
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