Très intéressant DCD,
Et par curiosité, combien d'italiens nés en Italie ?
et Combien d'italiens nés dans un autre pays européen vs Italiens qui ont pris le passeport italien après pour ne pas compter comme des extracommunautaires ? (ex : Nicolas Cherro, Guido Milan, Matheus Vivian...)
Football Stats de Metz
- lucalesmetz
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Re: Football Stats de Metz
10 italiens nés en Italie et je n'ai pas encore toutes les doubles nationalitéslucalesmetz a écrit : Très intéressant DCD,
Et par curiosité, combien d'italiens nés en Italie ?
et Combien d'italiens nés dans un autre pays européen vs Italiens qui ont pris le passeport italien après pour ne pas compter comme des extracommunautaires ? (ex : Nicolas Cherro, Guido Milan, Matheus Vivian...)
Yougoslave, allemand, français.robbi a écrit : Petite question : tu as mis quelle nationalité à mon ami Toni K ?
Mais j'ai un doute pour le droit du sol du premier pays.
- lucalesmetz
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Re: Football Stats de Metz
Ok, merci DCD !
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Re: Football Stats de Metz
Bon pour faire court, le FC Metz n’a jamais rencontré le FC Annecy donc le résultat de ce soir sera le premier.
Du coup, nous pouvons épiloguer sur les lieux de naissance en parlant des villes, qui sont uniques et non modulables comme les nationalités. Enfin presque, puisque des communes ont disparues, phagocytées par une voisine aux dents longues comme par exemple le Sablon absorbé par Metz.
De fait, j’ai uniquement enregistré les noms des villes actuelles, ce qui nous donne pour les joueurs les lieux de naissance suivants :
Oui ! L’honneur est sauf. La grande majorité des joueurs du club est née à Metz et ceci, même s’il me manque encore 42 occurrences (ouais mais c’est pas facile).
Ensuite viennent (attention jeu de mots à venir) deux capitales : Paris et Vienne. Qui par leur population élevée, occupent logiquement le haut du classement, mais égalité avec Forbach et juste devant Thionville, deux des plus importantes villes mosellanes après Metz. Avec Montigny-lès-Metz, Luxembourg, Moyeuvre-Grande et Hayange, le recrutement historiquement local est bien ancré.
Pour les entraîneurs bien moins nombreux (57) les résultats sont moins parlants. Mais Metz occupe tout de même la première place et devant encore une fois Vienne et… Budapest ! Ensuite vient la petite ville de Morlaix en Bretagne, égalité avec Liège !
Pour les présidents encore moins nombreux (11), les résultats n’ont plus aucune signification. On note tout de même que l’un est né à Metz (je vous laisse trouver lequel) et un autre à Nancy ! Mais l’honneur est sauf, puisqu’il s’agit de Maurice DANGLARD, premier président du club intronisé en 1919, soit avant toute rivalité entre le CA Messin (futur FC Metz) et l’US Frontière (future ASNL).
Maurice DANGLARD, engagé volontaire dans l’armée française durant la Grande Guerre, aviateur, correspondant local du journal « l’Auto », motard, entraîneur cycliste et organisateur d’étapes du Tour de France à Metz encore annexée par l’Empire Allemand.
Maurice DANGLARD emmenant en Alsace et en avion Charles GINDELE qui loupa (encore) le train devant le mener disputer le troisième match de Coupe de France du club, en se posant sur le terrain !
Bref ! Un nancéien qui avait la classe !
Du coup, nous pouvons épiloguer sur les lieux de naissance en parlant des villes, qui sont uniques et non modulables comme les nationalités. Enfin presque, puisque des communes ont disparues, phagocytées par une voisine aux dents longues comme par exemple le Sablon absorbé par Metz.
De fait, j’ai uniquement enregistré les noms des villes actuelles, ce qui nous donne pour les joueurs les lieux de naissance suivants :
Oui ! L’honneur est sauf. La grande majorité des joueurs du club est née à Metz et ceci, même s’il me manque encore 42 occurrences (ouais mais c’est pas facile).
Ensuite viennent (attention jeu de mots à venir) deux capitales : Paris et Vienne. Qui par leur population élevée, occupent logiquement le haut du classement, mais égalité avec Forbach et juste devant Thionville, deux des plus importantes villes mosellanes après Metz. Avec Montigny-lès-Metz, Luxembourg, Moyeuvre-Grande et Hayange, le recrutement historiquement local est bien ancré.
Pour les entraîneurs bien moins nombreux (57) les résultats sont moins parlants. Mais Metz occupe tout de même la première place et devant encore une fois Vienne et… Budapest ! Ensuite vient la petite ville de Morlaix en Bretagne, égalité avec Liège !
Pour les présidents encore moins nombreux (11), les résultats n’ont plus aucune signification. On note tout de même que l’un est né à Metz (je vous laisse trouver lequel) et un autre à Nancy ! Mais l’honneur est sauf, puisqu’il s’agit de Maurice DANGLARD, premier président du club intronisé en 1919, soit avant toute rivalité entre le CA Messin (futur FC Metz) et l’US Frontière (future ASNL).
Maurice DANGLARD, engagé volontaire dans l’armée française durant la Grande Guerre, aviateur, correspondant local du journal « l’Auto », motard, entraîneur cycliste et organisateur d’étapes du Tour de France à Metz encore annexée par l’Empire Allemand.
Maurice DANGLARD emmenant en Alsace et en avion Charles GINDELE qui loupa (encore) le train devant le mener disputer le troisième match de Coupe de France du club, en se posant sur le terrain !
Bref ! Un nancéien qui avait la classe !
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Re: Football Stats de Metz
Le club m’a annoncé vouloir de lui-même combler les feuilles de match de son site officiel pour la fin de l’année.
Nonobstant que ce travail sera incomplet par choix d’occultation des années amateurs du club (de 1919 à 1932 et de 1940 à 1944), il ne devrait pas concerner les fiches d’identités des joueurs dans un premier temps.
Or, comme déjà évoqué, afficher un état civil complet d’un joueur au lieu de son seul nom, me paraît un indispensable devoir de mémoire. Même si ce n’est pas toujours facile.
Si les états civils de la grande majorité des joueurs messins sont connus, ceux qui ne le sont pas, ne le sont pas du tout. Dans ce contexte, il devient très difficile de trouver leur date et leur ville de naissance et le cas échéant, celles de leur mort.
Alors comment procédé ? Prenons l’exemple du joueur BAUER, qui joua pour le club durant la saison 1921/22.
En premier lieu, il faut trouver son prénom. Après des heures de recherches infructueuses dans la presse locale numérisée et ses 17 977 occurrences, celui-ci apparaît dans l’exemplaire papier du journal « Le Messin » du 07/12/1925, dans lequel un article consacré au match CA Messin – SC Douai (victoire 7-1 des grenat), précise que l’un des défenseurs nordistes n’est autre que l’ancien camiste BAUER Georges.
Par conséquent, il est possible de rechercher dans les tables décennales des naissances à Metz et dans les registres militaires de 1918 à 1922, un Georges BAUER né entre la fin du XIXème siècle et le début du XXème siècle. Mais cela fût sans résultat.
Une second option est de compulser les correspondances « Georges BAUER » ou « BAUER Georges », à nouveau dans la presse locale numérisée.
Parmi les 147 résultats, on apprend dans « Le Lorrain » du 17 juin 1927, que le sportif (sportsman) Georges BAUER s’est fait volé sa bicyclette à Uckange. Pour l’anecdote, ceci lui arrivera à nouveau deux ans plus tard.
On y apprend aussi dans « Le Lorrain » du 2 décembre 1932, que BAUER Charles-Georges a épousé à Uckange (en octobre ou novembre) Joséphine CARAMELLA. La ville correspond mais pas le prénom.
Pensant, qu’il est originaire de Uckange ou de Richemont, les tables décennales des naissances des communes ont été épluchées, mais encore une fois en vain. A l’inverse, son mariage a bien été enregistré à Uckange le 11 octobre 1932 sous le numéro 19. Mais s’agit-il du même homme ?
Et bien, en parcourant l’article sur le vol de la bicyclette, on remarque que le larcin a eu lieu devant le café CARAMELLA. Cet indice couplé à celui de la ville de résidence commune et au prénom commun aux deux BAUER, est suffisant pour conclure qu’il s’agit du même individu.
En effet, des heures d’investigations ont permis de constater qu’avant-guerre, des joueurs utilisaient leur deuxième prénom au lieu du premier, comme le célèbre Albert ROHRBACHER évoqué précédemment, qui se prénommait en réalité Charles (prénom peu apprécié à l’époque apparemment).
La date du mariage connue et comme celui-ci date de plus de 75 ans, il est possible de demander une copie de l’acte à la mairie concernée.
Sa date (15 juin 1904) et son lieu de naissance (Dudelange) sont ainsi trouvés. De là, il est possible de consulter son acte de naissance et d’espérer qu’il ait été tenu à jour. C’est-à-dire, que l’officier d’état civil y est émargé les dates des autres actes civils : mariage, divorce et… décès.
Charles "Georges" BAUER et donc mort à Uckange le 9 février 1978, et voilà comment constituer une fiche d’identité d’un ancien joueur du club.
C’est un gros travail qui parfois n’aboutit pas, faute de mise à jour de l’acte de naissance. Et quand bien même, dans ce cas précis se pose le problème de la nationalité de Charles « Georges » BAUER. S’est-il fait naturalisé comme Peter FABIAN, Marcel PERRUCHOUD et Pierre « Herbert » SCHUTH ?
Ceci sera très dur à déterminer. Les décrets de naturalisation n’étant pas tous au format OCR, il n’est pas toujours possible d’y faire une recherche nominative et sans l’année de ladite naturalisation, impossible de faire une longue recherche manuelle fructueuse.
Nonobstant que ce travail sera incomplet par choix d’occultation des années amateurs du club (de 1919 à 1932 et de 1940 à 1944), il ne devrait pas concerner les fiches d’identités des joueurs dans un premier temps.
Or, comme déjà évoqué, afficher un état civil complet d’un joueur au lieu de son seul nom, me paraît un indispensable devoir de mémoire. Même si ce n’est pas toujours facile.
Si les états civils de la grande majorité des joueurs messins sont connus, ceux qui ne le sont pas, ne le sont pas du tout. Dans ce contexte, il devient très difficile de trouver leur date et leur ville de naissance et le cas échéant, celles de leur mort.
Alors comment procédé ? Prenons l’exemple du joueur BAUER, qui joua pour le club durant la saison 1921/22.
En premier lieu, il faut trouver son prénom. Après des heures de recherches infructueuses dans la presse locale numérisée et ses 17 977 occurrences, celui-ci apparaît dans l’exemplaire papier du journal « Le Messin » du 07/12/1925, dans lequel un article consacré au match CA Messin – SC Douai (victoire 7-1 des grenat), précise que l’un des défenseurs nordistes n’est autre que l’ancien camiste BAUER Georges.
Par conséquent, il est possible de rechercher dans les tables décennales des naissances à Metz et dans les registres militaires de 1918 à 1922, un Georges BAUER né entre la fin du XIXème siècle et le début du XXème siècle. Mais cela fût sans résultat.
Une second option est de compulser les correspondances « Georges BAUER » ou « BAUER Georges », à nouveau dans la presse locale numérisée.
Parmi les 147 résultats, on apprend dans « Le Lorrain » du 17 juin 1927, que le sportif (sportsman) Georges BAUER s’est fait volé sa bicyclette à Uckange. Pour l’anecdote, ceci lui arrivera à nouveau deux ans plus tard.
On y apprend aussi dans « Le Lorrain » du 2 décembre 1932, que BAUER Charles-Georges a épousé à Uckange (en octobre ou novembre) Joséphine CARAMELLA. La ville correspond mais pas le prénom.
Pensant, qu’il est originaire de Uckange ou de Richemont, les tables décennales des naissances des communes ont été épluchées, mais encore une fois en vain. A l’inverse, son mariage a bien été enregistré à Uckange le 11 octobre 1932 sous le numéro 19. Mais s’agit-il du même homme ?
Et bien, en parcourant l’article sur le vol de la bicyclette, on remarque que le larcin a eu lieu devant le café CARAMELLA. Cet indice couplé à celui de la ville de résidence commune et au prénom commun aux deux BAUER, est suffisant pour conclure qu’il s’agit du même individu.
En effet, des heures d’investigations ont permis de constater qu’avant-guerre, des joueurs utilisaient leur deuxième prénom au lieu du premier, comme le célèbre Albert ROHRBACHER évoqué précédemment, qui se prénommait en réalité Charles (prénom peu apprécié à l’époque apparemment).
La date du mariage connue et comme celui-ci date de plus de 75 ans, il est possible de demander une copie de l’acte à la mairie concernée.
Sa date (15 juin 1904) et son lieu de naissance (Dudelange) sont ainsi trouvés. De là, il est possible de consulter son acte de naissance et d’espérer qu’il ait été tenu à jour. C’est-à-dire, que l’officier d’état civil y est émargé les dates des autres actes civils : mariage, divorce et… décès.
Charles "Georges" BAUER et donc mort à Uckange le 9 février 1978, et voilà comment constituer une fiche d’identité d’un ancien joueur du club.
C’est un gros travail qui parfois n’aboutit pas, faute de mise à jour de l’acte de naissance. Et quand bien même, dans ce cas précis se pose le problème de la nationalité de Charles « Georges » BAUER. S’est-il fait naturalisé comme Peter FABIAN, Marcel PERRUCHOUD et Pierre « Herbert » SCHUTH ?
Ceci sera très dur à déterminer. Les décrets de naturalisation n’étant pas tous au format OCR, il n’est pas toujours possible d’y faire une recherche nominative et sans l’année de ladite naturalisation, impossible de faire une longue recherche manuelle fructueuse.
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Re: Football Stats de Metz
Il y avait eu que deux cartons rouges messins pour ce match résultants, qui plus est d'un cumul, de cartons jaunes pour Toyes et Jestrovic.Fox a écrit : Dites moi
Quelqu'un sait quand c'était la dernière fois qu'on a vu 3 rouges messins ?
Il y avait eu le quart de CDL 99 contre Toulouse, et encore je crois que le 3eme on le prend en prolongation
Et depuis ?
3 expulsions messines en 1 match c'est inédit. Surtout sur 2 fautes inexistantes.
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Re: Football Stats de Metz
robbi a écrit :Et 2 penalty inexistant, on a déjà eu ?DCD a écrit :
Il y avait eu que deux cartons rouges messins pour ce match résultants, qui plus est d'un cumul, de cartons jaunes pour Toyes et Jestrovic.
3 expulsions messines en 1 match c'est inédit. Surtout sur 2 fautes inexistantes.
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Re: Football Stats de Metz
Pour en revenir aux stats, cette défaite 3-6 n'est pas la plus lourde qu'a connue le FC Metz en D2 à domicile. Car le 31/05/1959 le club a perdu 1-5 contre le Stade Français.
Cette même (mauvaise) saison 1958/59, le FC Metz perdît deux autres matchs à domicile sur des scores fleuve : 1-4 contre le FC Rouen 1899 et 1-4 contre l'ESTAC de Troyes (alors nommé autrement).
Ensuite viennent en 1965/66 un 0-3 contre Béziers AS (et oui) et le fameux match de la relégation en National du 04/05/2012 contre... l'EA Guingamp.
Cette même (mauvaise) saison 1958/59, le FC Metz perdît deux autres matchs à domicile sur des scores fleuve : 1-4 contre le FC Rouen 1899 et 1-4 contre l'ESTAC de Troyes (alors nommé autrement).
Ensuite viennent en 1965/66 un 0-3 contre Béziers AS (et oui) et le fameux match de la relégation en National du 04/05/2012 contre... l'EA Guingamp.
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Re: Football Stats de Metz
Demain, le FC Metz jouera contre le SC Bastia. Même si le club corse est venu très tard au professionnalisme, il a rencontré 81 fois les Grenat.
A ce jeu-là, les messins l’emportent d’une courte tête avec 37 victoires pour 30 défaites ; 92 buts pour et 80 buts contre.
Mais en Corse le bilan est tout autre. En 38 matchs, le FC Metz n’y a gagné que 7 fois pour 23 défaites, et n’y a marqué que 25 fois pour 54 buts encaissés. Le FC Metz reste d’ailleurs sur 5 défaites d’affilée, sa dernière victoire remontant à la saison 2008/09.
Et en bornant ces déplacements à la D2 cela ne fait toujours qu’une victoire (celle du 27/03/2009 avec les buts de Papiss CISSE et de Laurent AGOUAZI) pour cinq défaites.
Il faut dire que les corses ont une bonne raison de nous en vouloir. En 1966/67, le FC Metz accéda à la D1 après une victoire sur tapis vert contre le Chaumont FC, lanterne rouge du championnat que notre club ne parvint pourtant pas à battre. Ce point supplémentaire permit aux Grenat du président Paul MAYER, d’accéder à la D1 aux détriments des Corses, à la différence de buts.
Y gagner serait donc un exploit inaccoutumé.
A ce jeu-là, les messins l’emportent d’une courte tête avec 37 victoires pour 30 défaites ; 92 buts pour et 80 buts contre.
Mais en Corse le bilan est tout autre. En 38 matchs, le FC Metz n’y a gagné que 7 fois pour 23 défaites, et n’y a marqué que 25 fois pour 54 buts encaissés. Le FC Metz reste d’ailleurs sur 5 défaites d’affilée, sa dernière victoire remontant à la saison 2008/09.
Et en bornant ces déplacements à la D2 cela ne fait toujours qu’une victoire (celle du 27/03/2009 avec les buts de Papiss CISSE et de Laurent AGOUAZI) pour cinq défaites.
Il faut dire que les corses ont une bonne raison de nous en vouloir. En 1966/67, le FC Metz accéda à la D1 après une victoire sur tapis vert contre le Chaumont FC, lanterne rouge du championnat que notre club ne parvint pourtant pas à battre. Ce point supplémentaire permit aux Grenat du président Paul MAYER, d’accéder à la D1 aux détriments des Corses, à la différence de buts.
Y gagner serait donc un exploit inaccoutumé.
- Jacobson
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Re: Football Stats de Metz
La palme de l'expulsion la plus stupide sous nos couleurs revient quand même à Ludovic Obraniak en Coupe de France.
D'ailleurs, tiens, quelqu'un se rappelle pourquoi il avait pris un rouge ?
D'ailleurs, tiens, quelqu'un se rappelle pourquoi il avait pris un rouge ?
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