julmetz95 a écrit :
zic is back a écrit :
Il y a malheureusement bien.un moment où on ne se remettra pas d'une énième descente.
est ce pas mieux de vivre en L2 que de souffrir autant en L1 ?
moi franchement l'élite , j'en ai ma claque
c'est une veritable souffrance de suivre Metz en premiere division
Je l'avais dit, je l'avais écrit le jour de Metz-Bastia : j'étais tout ce qu'il y a de plus zen. Chose assez rare d'ailleurs.
Tout simplement parce que si ça passait, je verrais de belles choses, sur le terrain, en tribunes, je verrais mes enfants heureux, des gens d'horizons différents communier durant un temps, court mais puissant.
Et puis, si ça ne se passait pas bien, cela m'irait aussi, car n'ayant plus confiance dans la sphère dirigeante (sportivement j'insiste, et absolument pas en termes de pérennité financière), je me disais que l'on repartirait en L2, là où je nous sens (sans jouer petit bras, la vingtaine d'année prise à mon compteur personnel m'a fait minorer mes attentes), désormais, dans notre élément, là où je vois plus souvent des victoires, mes enfants ravis en quittant le terrain (ils s'en foutent qu'on lime Laval ou l'OM, c'est aussi ça, la beauté de l'enfance), des sourires parmi mes voisins de TOB, bref, tu te sens bien, un court instant, et c'est précieux.
On descendra sans doute en fin de saison et l'on retrouvera cette division. La seule chose sur laquelle que j'espère si, d'ici-là, il n'y a pas eu cette révolution salutaire que j'espère, c'est qu'on arrête, d'ici aux RS, au Graoully Mag...de nous parler de remonter immédiate. Les mêmes maux produisent les mêmes effets et je suis usé par ce que j'ai vécu, à nouveau, hier. Mon humble nombril a juste envie d'aller voir un match de ce club qu'il aime tant sans se douter de l'issue de la rencontre avant qu'elle n'ait lieu. Que cela soit en L2, peu m'importe. J'espère juste des valeurs exprimées sur le terrain, pas uniquement devant un micro (foutus "éléments de langage"), sans doute moins de monde en tribunes, mais des personnes qui, comme moi, aiment que l'on honore notre maillot, parfois dans la difficulté, mais toujours avec cœur.