C'est triste mais comme beaucoup ici, en fait je m'en fous.
J'ai quand même suivi le match hier de loin, été content jusqu'à la 88ème de me dire qu'au moins, quoiqu'il arrive, on aura au moins battu nos chers voisins. Et patratra, égalisation, tu entends 9 min d'arrêt de jeu, tu te dis que c'est mort... etc... et que ce soit l'égalisation ou le 2ème, ça ne m'a même pas crispé plus que ça.
Franchement quand je me dis que si on se sauve, on repart pour une saison avec le même coach, la même philosophie de jeu à 25% de possession de balle, quasi certain d'avoir un groupe encore plus faible, je me dis qu'on sera pas si mal en L2 (j'ai honte de penser ça, c'est la 1ère fois que ça m'arrive en +/- de 30 ans de présence au stade).
Se retaper une saison comme cette année, c'est bon, non merci. Perdre et descendre on connaît, on a déjà donné, de toutes les manières que ce soit. Mais passer la saison à se faire dominer et marcher dessus et n'être encore en vie que grâce à un seul homme, stop.
Donc on verra samedi mais j'ai peur que si le scenario goal average se produit, ça me fasse même rire pour le mode "jusqu'au bout on est maudit"
Le scénario noir de la descente directe à cause du goal average
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Re: Le scénario noir de la descente directe à cause du goal average
Dernière modification par Jerk le 13 mai 2024, 08:58, modifié 1 fois.
- Arty57
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Re: Le scénario noir de la descente directe à cause du goal average
Franchement, on peut fortement repenser au scenario d'il y a deux ans. Et pour le coup je souhaite a Lorient d'aller en barrage. On ne mérite absolument rien. A Lorient des mecs chiales de la situation du club. A Metz tout le monde est stone. J'en ai ras le c** de supporter ce club et de me faire du mal pour un sport.
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Re: Le scénario noir de la descente directe à cause du goal average
Le match le plus inquiétant est sans doute celui de Lorient... Clermont complétement démobilisé, et Lorient en mode survie.. cela peut vite tourner au carnage.... et même si on perd de 1 ou 2 buts..... j'ai bien peur qu'en Bretagne la valise soit importante
Avoir deux fois le barrage assuré et le perdre dans les derniers instants, c'est juste pas possible.. c'est une faute professionnelle
N'doram qui en phase offensive sur corner ou coup franc ne prend aucune balle de la tête réussit à se muer en passeur décisif de la tête pour un strasbourgeois
Le ligue 2 me parait totalement inévitable et ce, sans barrage, dès après le match de Paris comme il y a deux saisons
Avoir deux fois le barrage assuré et le perdre dans les derniers instants, c'est juste pas possible.. c'est une faute professionnelle
N'doram qui en phase offensive sur corner ou coup franc ne prend aucune balle de la tête réussit à se muer en passeur décisif de la tête pour un strasbourgeois
Le ligue 2 me parait totalement inévitable et ce, sans barrage, dès après le match de Paris comme il y a deux saisons
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Re: Le scénario noir de la descente directe à cause du goal average
Le football nous a puni, tout simplement. Quand tu proposes aussi peu, que ce soit sur le match d'hier ou sur la saison, objectivement tu ne mérites rien.
Assez d'accord avec ce qu'il se dit. En-dehors des arguments purement économiques (les mêmes qui nous font nous saborder depuis plus de dix ans), sportivement je ne vois pas l'intérêt de repartir en L1 avec une structure décisionnaire pas prête, pas au niveau, et au sein de laquelle le sportif n'est de toute façon pas la priorité.
Repartir en L1 oui, mais si c'est pour repartir avec une équipe encore plus faible et aussi peu d'ambitions, je préfère nous voir en L2 où l'on pourra plus tranquillement développer certains joueurs.
Assez d'accord avec ce qu'il se dit. En-dehors des arguments purement économiques (les mêmes qui nous font nous saborder depuis plus de dix ans), sportivement je ne vois pas l'intérêt de repartir en L1 avec une structure décisionnaire pas prête, pas au niveau, et au sein de laquelle le sportif n'est de toute façon pas la priorité.
Repartir en L1 oui, mais si c'est pour repartir avec une équipe encore plus faible et aussi peu d'ambitions, je préfère nous voir en L2 où l'on pourra plus tranquillement développer certains joueurs.
- tonyfc
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Re: Le scénario noir de la descente directe à cause du goal average
Mon ami,Amsalem a écrit : A cet instant, samedi prochain, c'est sans moi.
Je ne serai pas capable de me taper une nouvelle tristesse avec mes enfants à côtés de moi.
A cet instant donc, tellement lassé, parce que ce que nous vivons est un éternel recommencement, les mêmes espérances, sans doute naïves, pour les mêmes désenchantements, là, je pense que je vais revendre mes places en TOB. J'en ai même 2 autres en TEH, tiens.
Cela me permettrait au-moins de saigner quelques footix.
Depuis le mercato hivernal 22/23, cette direction m'a définitivement perdu et je prends mon bonheur - familial - où je peux.
Je suis actuellement à Naples en weekend. Hier soir, je ne voulais pas gâcher ma soirée. Du coup, j'ai regardé le score seulement ce matin.
La pillule passe franchement mieux....
Pas surpris du la défaite, mais juste des circonstances....
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Re: Le scénario noir de la descente directe à cause du goal average
C'est dimanche les gars, le match contre Paris.
Ça ne change pas grand chose à ce que vous avez dit.
Mais il y a un jour de plus à attendre.
Ça ne change pas grand chose à ce que vous avez dit.
Mais il y a un jour de plus à attendre.
- excelsior
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Re: Le scénario noir de la descente directe à cause du goal average
Mais faut arrêter avec les « on n’a pas les moyens »phil57 a écrit : Franchement je me demande de plus en plus s’il vaudrait mieux ne pas descendre. On va faire quoi en L1 avec cette équipe sans Mikautadze, sachant qu’on a pas les moyens de la renforcer ?
On a l’impression que Metz a un budget 10fois inférieur à Brest le havre où Nantes
Jouer les calimero ça va un moment. Virer cet entraîneur qui n’en est pas et recruter de vrais joueurs de foot et tenter de jouer au foot c’est juste ce qu’on demande
Et pas faire systématiquement de l’anti football
- Chriss200
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Re: Le scénario noir de la descente directe à cause du goal average
Quel souvenirHattrick a écrit : Le scénario de Rennes et Strasbourg était aussi très irréaliste.
J'ai souvenir d'un match à Lens pour une montée....

Le problème c'est qu'on peut prendre une belle valise et Lorient pourra au moins gagner par 2 buts d'écarts. Le scénario est plausible
- Sega
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Re: Le scénario noir de la descente directe à cause du goal average
Pourquoi le mercato hivernal en L2? Tu voulais parler de celui de cet été ? Là oui, c'était le pire mercato jamais vécu au club avec le départ programmé mais trop tardif de Mikau.Amsalem a écrit : A cet instant, samedi prochain, c'est sans moi.
Je ne serai pas capable de me taper une nouvelle tristesse avec mes enfants à côtés de moi.
A cet instant donc, tellement lassé, parce que ce que nous vivons est un éternel recommencement, les mêmes espérances, sans doute naïves, pour les mêmes désenchantements, là, je pense que je vais revendre mes places en TOB. J'en ai même 2 autres en TEH, tiens.
Cela me permettrait au-moins de saigner quelques footix.
Depuis le mercato hivernal 22/23, cette direction m'a définitivement perdu et je prends mon bonheur - familial - où je peux.
Les choix d'attaquants (Elisor , Tetteh et Estupinian). Le rocambolesque transfert avorté d'Isidor ...
Je partage dorénavant l'état d'esprit de défiance absolue des supporters vis à vis de la politique sportive des dirigeants si on aurait la chance de se maintenir en L1...
À quoi bon ? Cette équipe ne recevra de toute façon pas l'apport des fameux joueurs d'expérience (1 par ligne) pour se maintenir tranquillement...
Triste, cela fait trop d'années que cela dure (depuis l'arrivée de Serin). C'est un éternel recommencement :descente, remontée, maintien miraculeux puis re-descente (aux enfers) etc... Au 21 ème siècle le club du FC Metz a été celui qui a été le plus de fois relégué (6 fois) pour 5 remontées immédiates!
Je n'en retire aucune satisfaction.
Dernière modification par Sega le 13 mai 2024, 09:28, modifié 1 fois.
- Livingstone
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Re: Le scénario noir de la descente directe à cause du goal average
La tristesse après le coup de sifflet final sur le visage de mes deux fils...
C'est terrible ce que le foot peut apporter comme émotion.
On a passé l'après-midi tous les trois avec nos maillots du FC Metz sur les épaules, mes deux fils portant fièrement le 10 de Georges dans leur dos, un de mes vintage sur les miennes.
On se fait tous les scénarii, on espère, ce fichu virus grenat que je leur ai refilé agit comme un agitateur d'émotion.
Ils aiment tellement le FC Metz qu'on s'est fait quatre déplacements cette saison (Rennes, Lyon, Reims et Le Havre) pour les soutenir, pour vibrer avec eux.
21h00 approchent, on y croit, on est remonté comme jamais, on chante même.
La première mi-temps est tendue, on a peu le ballon mais ça tient, on se dit qu'il faut en donner plus pour gagner ce derby.
On doit une revanche aux Alsaciens après la défaite à l'aller.
Puis la lumière vient d'un joueur extraordinaire, hors-norme, talentueux, généreux dans l'effort : Georges.
Je pense qu'il est au moins autant aimé qu'un certain Robert Pirès en son temps, je devrais dire "dans mes années de jeunes supporters".
On mène 1-0, on est heureux, mes fils rient, sont joyeux, tellement.
Le temps s'égrène, tant mieux, on se dit qu'on pourrait même doubler Le Havre le dernier match si.... et puis vient l'égalisation strasbourgeoise, et dans la foulée le second but. Rideau.
C'est dur, très dur. Mon jeune fils a du mal à comprendre ce qui se passe, il est plus que sonné. Mon grand fils est muet, le sifflet coupé par le terrible scénario.
"Pourquoi papa, on gagne jamais les matchs importants, pourquoi on perd toujours ? Pourquoi, pourquoi, pourquoi"
Ses "pourquoi" sont une sorte de détresse.
Je ne sais que répondre, je suis moi-même tellement abasourdi, dépité que j'en reste coi.
Avant de se coucher, je leur explique que nous avons été par le passé un excellent club, qu'on espère tous que cela reviendra..."
Je le raccorche à rien, comment apaiser cette frustration pour ces jeunes qui ne connaissent le club que dans la difficulté chronique.
J'éteins ma lampe de chevet en repensant ce que je viens de leur dire : "Nous avons été". Oui, nous avons été.
C'est terrible ce que le foot peut apporter comme émotion.
On a passé l'après-midi tous les trois avec nos maillots du FC Metz sur les épaules, mes deux fils portant fièrement le 10 de Georges dans leur dos, un de mes vintage sur les miennes.
On se fait tous les scénarii, on espère, ce fichu virus grenat que je leur ai refilé agit comme un agitateur d'émotion.
Ils aiment tellement le FC Metz qu'on s'est fait quatre déplacements cette saison (Rennes, Lyon, Reims et Le Havre) pour les soutenir, pour vibrer avec eux.
21h00 approchent, on y croit, on est remonté comme jamais, on chante même.
La première mi-temps est tendue, on a peu le ballon mais ça tient, on se dit qu'il faut en donner plus pour gagner ce derby.
On doit une revanche aux Alsaciens après la défaite à l'aller.
Puis la lumière vient d'un joueur extraordinaire, hors-norme, talentueux, généreux dans l'effort : Georges.
Je pense qu'il est au moins autant aimé qu'un certain Robert Pirès en son temps, je devrais dire "dans mes années de jeunes supporters".
On mène 1-0, on est heureux, mes fils rient, sont joyeux, tellement.
Le temps s'égrène, tant mieux, on se dit qu'on pourrait même doubler Le Havre le dernier match si.... et puis vient l'égalisation strasbourgeoise, et dans la foulée le second but. Rideau.
C'est dur, très dur. Mon jeune fils a du mal à comprendre ce qui se passe, il est plus que sonné. Mon grand fils est muet, le sifflet coupé par le terrible scénario.
"Pourquoi papa, on gagne jamais les matchs importants, pourquoi on perd toujours ? Pourquoi, pourquoi, pourquoi"
Ses "pourquoi" sont une sorte de détresse.
Je ne sais que répondre, je suis moi-même tellement abasourdi, dépité que j'en reste coi.
Avant de se coucher, je leur explique que nous avons été par le passé un excellent club, qu'on espère tous que cela reviendra..."
Je le raccorche à rien, comment apaiser cette frustration pour ces jeunes qui ne connaissent le club que dans la difficulté chronique.
J'éteins ma lampe de chevet en repensant ce que je viens de leur dire : "Nous avons été". Oui, nous avons été.
Dernière modification par Livingstone le 13 mai 2024, 09:34, modifié 2 fois.
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