The limits of control : Une fois n'est pas coutume, je ne sais pas quoi vous dire. C'est ce genre de film que l'on doit assimiler sans trop de difficultés au terme d'ovni cinématographique (bizarrement, on avait dit la même chose de Steak, bouse royale). The
limits of control est un océan de vide. Il ne se passe rien, on ne comprend d'ailleurs rien. Nous sommes confrontés à la solitude d'un homme qui a, montre en main, 5 minutes de texte (dont 2 minutes pour répéter, toujours au même garçon de café, qu'il veut 2 expresso dans deux tasses différentes, sans doute attend-t-il Georges) et qui, de pays en gugusses atypiques avec lesquels il échange des boîtes d'allumettes, va aboutir à étrangler Bill Muray, dans un rôle visiblement de "méchant", pour une raison qui m'est, j'avoue, totalement inconnue. Voilà. Tout ça en près de 2h. A contrario, comme l'évoquent certains critiques média, il se peut que vous trouviez ce long métrage énigmatique/envoûtant, voire même...captivant.
