Un homme se promène sur la plage et trouve une lampe à demi enterré dans le sable !
il l'a ramasse, la frotte pour le nettoyer et bien entendu un génie sort de la lampe :
Génie : puisque tu m'as sortie de mon long sommeil, tu a droit à 3 vœux
le mec : je veux avoir 100 milliards d'euros
le génie frotte les mains et hop le mec se retrouve avec la copie d'un extrait de compte bancaire en Suisse avec 100 milliards de solde
le mec : je veux avoir une villa dans le plus bel endroit au monde
le génie grotte les mains et hop le mec se retrouve avec le titre de propriété d'une villa à Tahiti de 500 mètres carrés
le mec : pour mon dernier vœux, je veux devenir totalement irrésistible pour les femmes
le génie frotte les mains et hop le mec se retrouve transformer en boite de chocolat :D
Le topic des blagues
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Re: Le topic des blagues
Monsieur et Madame FORME ont 3 fils ....
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Re: Le topic des blagues
Jesus, Hans et Hubert ...ZZED90 a écrit :Monsieur et Madame FORME ont 3 fils ....
- gauloiskiki
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Re: Le topic des blagues
Je connaissais une histoire qui commençait pareil avec "le mec" qui venait du Pas-de-Calais et le Génie qui était Azerbaïdjanais !oly22 a écrit :Un homme se promène sur la plage et trouve une lampe à demi enterré dans le sable !
il l'a ramasse, la frotte pour le nettoyer et bien entendu un génie sort de la lampe :
Génie : puisque tu m'as sortie de mon long sommeil, tu a droit à 3 vœux
le mec : je veux avoir 100 milliards d'euros
le génie frotte les mains et hop le mec se retrouve avec la copie d'un extrait de compte bancaire en Suisse avec 100 milliards de solde
- Amos
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Re: Le topic des blagues
Le gros cachet avant de dormir - La Minute Vieille
https://www.youtube.com/watch?v=JimorY8W5i0
Casse-noisettes - La Minute Vieille
https://www.youtube.com/watch?v=Of__x8GCw-U
Soirée saucisses - La minute vieille
https://www.youtube.com/watch?v=M-pLKr_TQ3Y
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Casse-noisettes - La Minute Vieille
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Re: Le topic des blagues
Suite aux fumigènes vu dans les travées du stade de la licorne à amiens , hier lors du derby Saint-Etienne-Lyon, ainsi qu à Nancy ce soir , les présidents de Lens, Saint-Étienne et nancy vont interdirent les tifos, banderoles et drapeaux jusqu'à nouvel ordre.
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Re: Le topic des blagues
Le Républicain Lorrain est un journal objectif.
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Re: Le topic des blagues
Tu m'as arraché un sourireluboss a écrit :Le Républicain Lorrain est un journal objectif.

Et pour la peine, une bonne blague:
Dans une tribu sioux, un enfant de 5 ans va voir son père et lui demande:
-Papa! Pourquoi chez nous les sioux, on a des prénoms bizarres comme Foudre Magique ou Terre Rouge?
-C'est simple fiston. Le nom de nos enfants dépend du moment de l'accouplement de leurs parents. Par exemple, ta soeur se nomme Vallée au Soleil Couchant car lorsque j'ai fait l'amour à maman, c'était dans la Vallée et le Soleil se couchait. 9 mois plus tard, ta soeur était née.
-Ah c'est comme ça que ça marche.
-Oui, tu m'as compris, Capote Trouée?
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Re: Le topic des blagues
C'est John Major, l'ancien premier ministre britannique, qui rentre chez lui après une harassante journée de travail. Ce qu'il faut savoir, c'est qu'après sa carrière politique, John Major s'est installé en Allemagne, à Uerdingen, dans la vallée de la Ruhr, et qu'il y tient un stand de caramels mous.
En ouvrant la porte de chez lui, il rencontre sa femme Margaret. "Hello Margaret" lui lance-t-il sur un ton enjoué. "Hello John" lui répond cette dernière. "As-tu pensé à prendre du lait chez le marchand, John ?"
John est contrarié. Il vient de se rendre compte qu'il a oublié d'acheter du lait chez le marchand de la Kurfurstenstrasse.
"Ah zut, je crois que j'ai oublié d'en acheter!" lui répond-il. "Je crois qu'il va falloir que j'y retourne !"
"Et bien dépêche-toi, dit Margaret, sinon tu vas etre en retard pour le souper !"
"Certes" répond John, et ce dernier rouvre la porte, sort de chez lui pour la deuxième fois de la journée, entre dans sa voiture - là encore pour la deuxième fois de la journée - met le contact, fait marche arrière, et roule en direction du marchand de la Kurfurstenstrasse pour y acheter du lait.
Mais au lieux de passer par la Alde Krefelder Strasse, comme il le fait d'habitude, John décide de faire un détour, et d'emprunter la Mundelheimer Strasse. "Il faut parfois changer ses habitudes" dit-il enjoué, quoiqu'un brun inquiet de ce changement d'itinéraire, qui bien qu'il ne présente, en toute logique, aucun danger particulier, peut toutefois s'avérer perturbant pour un homme aussi routinier que John.
Soudain, John arrête brusquement son auto (une Ford Escort bleue, encore en bon état de marche malgré ses dix-sept millions trois cent soixante-sept mille sept cent trente-trois kilomètres au compteur). "Mais c'est Helmut !" s'écrit-il "Ce bon vieil Helmut !"
John sort de sa voiture, et va à la rencontre d'Helmut, qui lui ne l'a pas vu.
"Helmut ! c'est moi, John !"
Helmut se retourne et s'écrit: "Ach, z'est toi John ! Za fait tellement longtemps que l'on ne s'est pas vu ! Comment fas-tu John ?"
"Oh, ca va bien, répond John, tout va pour le mieux !"
"Ah pon, fraiment ? répond Helmut. Du en as de la chance !"
"Merci, dit John. Enfin, tout n'est pas rose non plus."
"Ach, qu'est-ce-qui ne fa pas John ?"
"C'est ma femme, elle est frigide !"
"Ca c'est tommage John ! Ch'imagine que za doit berturber ta fie sexuelle. Et je sais que tu n'aimes pas etre berturbé."
"Oui, je déteste ca. Mais viens Helmut, je vais te montrer quelque chose."
Les deux compères, l'anglais et l'allemand, quittent alors la Mundelheimer Strasse pour s'engager, à pied, dans la Fabritiusstrasse, puis dans la Kolpingstrasse ou ils se dirigent vers une fabrique de raquettes de tennis.
Tout au long du trajets, les deux vieux amis échangent des anecdotes, parlent de leur passé récent. Helmut annonce à John qu'il a épousé une chinoise de vingt-cinq ans, qui est frigide elle-aussi, et qu'il s'est acheté un camion-benne vert de la ville de Paris.
"Un camion-benne vert ! Mais pourquoi ?" demande John. "Ach, che l'ai acheté sur un coup de tete" lui répond Helmut.
John et Helmut arrivent devant la fabrique de raquettes de tennis, mais cette dernière semble désaffectée.
"Dis Helmut..."
"Oui John ?"
"Sais-tu ce qu'on fabrique dans cet atelier ?"
"Mais, des raguettes de tennis, John. Za semble éfident !"
"Exact Helmut ! Et sais-tu pourquoi cet atelier est fermé ?"
"Non, John, che ne le sais pas."
"Et bien je vais te raconter une histoire qui va t'étonner."
"Fas'y, raconte !" dit Helmut, impatient.
"Sais-tu qu'en 1992, un milliardaire japonais a investi quatre cent trente-cinq milliards trois cent quatre-vingt-treize millions huit cent soixante-sept mille sept cent cinquante-huit Deutsche Mark dans cette fabrique pour la rénover ?"
"Ah pon ! s'écrit Helmut."
"Et sais-tu que deux ans auparavant, en 1990, il avait déjà acheté une usine de fabrication de poêles à frire, ici, à Uerdingen ?"
"Celle qui se troufe zur la Heinrich-Theissen-Strasse ?" demande Helmut.
"Non, celle de la Zwingenbergstrasse." lui repond John.
"La Zwingenbergstrasse ? che ne fois pas ou z'est."
"Mais si, voyons. C'est dans cette rue que réside notre ami Roland, celui qui a de sérieux problèmes intestinaux."
"Ach oui, che me soufiens. Celui qui pete tout le temps."
"C'est ca."
"Au fait John, comment fa ta femme ?"
"Elle est morte, Helmut."
Et là, Helmut lui répond: "Ach, mais je croyais que c'était une sal*pe !"
En ouvrant la porte de chez lui, il rencontre sa femme Margaret. "Hello Margaret" lui lance-t-il sur un ton enjoué. "Hello John" lui répond cette dernière. "As-tu pensé à prendre du lait chez le marchand, John ?"
John est contrarié. Il vient de se rendre compte qu'il a oublié d'acheter du lait chez le marchand de la Kurfurstenstrasse.
"Ah zut, je crois que j'ai oublié d'en acheter!" lui répond-il. "Je crois qu'il va falloir que j'y retourne !"
"Et bien dépêche-toi, dit Margaret, sinon tu vas etre en retard pour le souper !"
"Certes" répond John, et ce dernier rouvre la porte, sort de chez lui pour la deuxième fois de la journée, entre dans sa voiture - là encore pour la deuxième fois de la journée - met le contact, fait marche arrière, et roule en direction du marchand de la Kurfurstenstrasse pour y acheter du lait.
Mais au lieux de passer par la Alde Krefelder Strasse, comme il le fait d'habitude, John décide de faire un détour, et d'emprunter la Mundelheimer Strasse. "Il faut parfois changer ses habitudes" dit-il enjoué, quoiqu'un brun inquiet de ce changement d'itinéraire, qui bien qu'il ne présente, en toute logique, aucun danger particulier, peut toutefois s'avérer perturbant pour un homme aussi routinier que John.
Soudain, John arrête brusquement son auto (une Ford Escort bleue, encore en bon état de marche malgré ses dix-sept millions trois cent soixante-sept mille sept cent trente-trois kilomètres au compteur). "Mais c'est Helmut !" s'écrit-il "Ce bon vieil Helmut !"
John sort de sa voiture, et va à la rencontre d'Helmut, qui lui ne l'a pas vu.
"Helmut ! c'est moi, John !"
Helmut se retourne et s'écrit: "Ach, z'est toi John ! Za fait tellement longtemps que l'on ne s'est pas vu ! Comment fas-tu John ?"
"Oh, ca va bien, répond John, tout va pour le mieux !"
"Ah pon, fraiment ? répond Helmut. Du en as de la chance !"
"Merci, dit John. Enfin, tout n'est pas rose non plus."
"Ach, qu'est-ce-qui ne fa pas John ?"
"C'est ma femme, elle est frigide !"
"Ca c'est tommage John ! Ch'imagine que za doit berturber ta fie sexuelle. Et je sais que tu n'aimes pas etre berturbé."
"Oui, je déteste ca. Mais viens Helmut, je vais te montrer quelque chose."
Les deux compères, l'anglais et l'allemand, quittent alors la Mundelheimer Strasse pour s'engager, à pied, dans la Fabritiusstrasse, puis dans la Kolpingstrasse ou ils se dirigent vers une fabrique de raquettes de tennis.
Tout au long du trajets, les deux vieux amis échangent des anecdotes, parlent de leur passé récent. Helmut annonce à John qu'il a épousé une chinoise de vingt-cinq ans, qui est frigide elle-aussi, et qu'il s'est acheté un camion-benne vert de la ville de Paris.
"Un camion-benne vert ! Mais pourquoi ?" demande John. "Ach, che l'ai acheté sur un coup de tete" lui répond Helmut.
John et Helmut arrivent devant la fabrique de raquettes de tennis, mais cette dernière semble désaffectée.
"Dis Helmut..."
"Oui John ?"
"Sais-tu ce qu'on fabrique dans cet atelier ?"
"Mais, des raguettes de tennis, John. Za semble éfident !"
"Exact Helmut ! Et sais-tu pourquoi cet atelier est fermé ?"
"Non, John, che ne le sais pas."
"Et bien je vais te raconter une histoire qui va t'étonner."
"Fas'y, raconte !" dit Helmut, impatient.
"Sais-tu qu'en 1992, un milliardaire japonais a investi quatre cent trente-cinq milliards trois cent quatre-vingt-treize millions huit cent soixante-sept mille sept cent cinquante-huit Deutsche Mark dans cette fabrique pour la rénover ?"
"Ah pon ! s'écrit Helmut."
"Et sais-tu que deux ans auparavant, en 1990, il avait déjà acheté une usine de fabrication de poêles à frire, ici, à Uerdingen ?"
"Celle qui se troufe zur la Heinrich-Theissen-Strasse ?" demande Helmut.
"Non, celle de la Zwingenbergstrasse." lui repond John.
"La Zwingenbergstrasse ? che ne fois pas ou z'est."
"Mais si, voyons. C'est dans cette rue que réside notre ami Roland, celui qui a de sérieux problèmes intestinaux."
"Ach oui, che me soufiens. Celui qui pete tout le temps."
"C'est ca."
"Au fait John, comment fa ta femme ?"
"Elle est morte, Helmut."
Et là, Helmut lui répond: "Ach, mais je croyais que c'était une sal*pe !"
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Re: Le topic des blagues
C'est l'histoire de 3 marins, échoués depuis plusieurs années sur une ile déserte suite au naufrage de leur bateau.
Un jour, l'un deux découvre une vieille lampe. Après l'avoir frottée, un génie en sort et leur propose de réaliser un vœu à chacun des trois.
Le premier demande : "Je voudrais retourner chez moi, avec ma femme et mes enfants" et hop son vœu se réalise et il disparait.
Le deuxième demande à son tour " Je voudrais aussi retourner chez moi, avec ma femme et mes enfants" et hop il disparait à son tour
Vient le tour du troisième, le génie lui demande ce qu'il veut, le marin lui répond "je n'ai ni femme ni enfant, je veux juste que mes 2 copains reviennent...
Un jour, l'un deux découvre une vieille lampe. Après l'avoir frottée, un génie en sort et leur propose de réaliser un vœu à chacun des trois.
Le premier demande : "Je voudrais retourner chez moi, avec ma femme et mes enfants" et hop son vœu se réalise et il disparait.
Le deuxième demande à son tour " Je voudrais aussi retourner chez moi, avec ma femme et mes enfants" et hop il disparait à son tour
Vient le tour du troisième, le génie lui demande ce qu'il veut, le marin lui répond "je n'ai ni femme ni enfant, je veux juste que mes 2 copains reviennent...
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