ambroisepare a écrit :
Le suicide du bélouga
Puisqu'on revendique parait il la liberté d'expression et qu'elle serait menacée, je viens ici inscrire librement ma parole, mes opinions, relayées par ce que je peux savoir et de ma longue expérience , privilège absolu des vieux.
D'abord le suicide du bélouga. La pauvre bête était désorientée elle a foncé droit dans le mur. Grégory Proment c'est un peu ce bélouga, on y a mis une caméra un gars et un micro et comme un cétacé au sonar dévoré de parasites il s'est littéralement autodétruit sous mes yeux.
Là j'imagine l'effet produit chez Bernard Serin... Parce que ce que ne semble pas comprendre Grégory Proment, c'est que les décisions de nominations de responsabilités ne se font pas sur les simples déclarations d'intentions, mais sur la valeur et le palmarès. Et ces décisions sont prises par celui qui a mis en place une direction sportive dont i l n'a eu de cesse de savonner la planche, ce qui lui a valu la mutation que l'on sait. Et la dernière interview de Serin a confirmé que le jeune homme devra encore rayer quelques parquets en attendant... si jamais il y avait un avenir.
Moi ce qui m'intéresse c'est le bois des légendes. Il en est une, tenace qui voudrait que Proment soit venu sauver le FC Metz en National. D'abord faut avoir ne serait ce qu'un tout petit peu joué au football pour savoir que les sauvetages sont toujours collectifs... Mais c'est Gregory Proment lui même qui met fin définitivement à cette légende dans cette interview. Il est venu à Metz parce que, je cite : " Caen ne voulait plus de moi".
Ce qui veut dire que si Caen l'avait conservé la question de venir ne se serait pas posée. Metz en national ou pas.
Après avoir ensuite évoqué son avenir possible à Metz ou à.... Caen (là on voit qu'il est capable de ne pas être rancunier ^^) on a droit à ce fameux couplet de Metz club de mon coeur ou ailleurs...
Pour finir, on peut souligner le matamore de foire qui nous annonce qu'il n'aurait pas fallu l'interviewer l'année dernière, ça tombe bien personne ne l'a fait pour ensuite lâcher un vague discours sur les valeurs ( de la mine? ... noon pitié quoi) piétinée finalement on ne sait pas par qui... Serin? Antonetti? Les joueurs?...
A manquer de courage on finit par manquer d'élégance. Et je ne dirai pas ce que je pense de la réactivité de l'interviewer... qui ne pousse pas dans la direction d'expliciter, d'assumer de vagues indignations de comptoirs.
Au bout du compte une interview qui ne fait trembler que les murs virtuels du forum... une tempête dans un verre de pisse... et dont la principale victime n'est autre que Gregory Proment lui même. S'il est aussi fin tacticien en football qu'en communication...
Ces propos n'engagent que moi, ils sont ma vérité, mon ressenti, ici librement exprimés.
Persiste et signe
ambroiseparé