L ESSENTIEL : Georges MIKAUTADZE
Publié : 02 mars 2023, 11:47
https://www.lessentiel.lu/fr/story/rest ... 7943981680
L'essentiel: Comment expliquez-vous que vous ayez percé plus tard que d’autres joueurs ?
Georges Mikautadze: On ne m’a pas fait confiance tout de suite. Je suis parti à Seraing, je suis revenu au FC Metz. Je suis ensuite reparti une année de plus en Belgique. C’est important de ne pas brûler les étapes. Ça m’a permis d’arriver ici, d’être comeilleur buteur de Ligue 2.
Avez-vous l'impression d'avoir fait des sacrifices depuis le début de votre carrière?
Oui, un peu. J’essaie de manger correctement, de travailler davantage. Les petits sacrifices finissent par payer. Je profiterai plus tard.
Avez-vous un régime alimentaire spécifique?
J’ai quelqu’un qui s’occupe de mes repas depuis environ deux mois. Il me donne des recettes pour toute la semaine que je me fais à la maison.
Vous vous en sortez comment en cuisine?
Parfois, quand les recettes sont trop compliquées, j’appelle ma mère au téléphone (rires). Elle fait super bien à manger, surtout les spécialités géorgiennes. Ce que je préfère, ce sont les khinkali. C’est de la viande hachée enrobée dans une pâte, avec un peu de sauce. Elle m’en fait parfois quand je rentre à la maison.
Vous n’arrivez pas encore à les faire vous-même?
Non (rires). Je n’ai pas encore essayé, mais quand je vois ma mère les faire, je me dis que ça doit être compliqué.
Avez-vous l’impression d’être devenu un des chouchous du public?
Un petit peu. C’est grâce aux résultats et aux buts que j'ai marqués. Je le vois sur les réseaux sociaux. Contre Nîmes, quand je suis sorti, j’ai eu droit à une petite ovation. Petit à petit, on commence à me reconnaître dans la rue.
Serait-il possible de vous voir rester à Metz la saison prochaine?
Bien sûr. Nous jouons la montée, donc en cas de promotion, pourquoi ne pas rester ici?
Il y a des championnats qui vous correspondent?
J’ai toujours dit que j’aimais bien le championnat anglais.
Avec notamment l’émergence de Khvicha Kvaratskhelia à Naples, sentez-vous qu’il y a une effervescence particulière autour de la sélection géorgienne?
Les joueurs commencent à sortir du pays, entre lui à Naples, le gardien (Giorgi Mamardashvili) qui joue à Valence, en Espagne ou Zuriko Davitashvili qui évolue à Bordeaux. C’est sûr qu’il y a de l’attente. On a un groupe jeune, donc on a du temps devant nous pour remplir les objectifs et jouer un jour une grande compétition.
Visez-vous une qualification pour l’Euro 2024 ou est-ce encore prématuré?
Oui on vise la qualification, maintenant il faut voir comment les matches vont se passer. On a un groupe assez compliqué avec la Norvège et l’Espagne. Mais il n’y a rien d’impossible et il faudra tout mettre en œuvre pour participer pour la première fois à l’Euro.
L'essentiel: Comment expliquez-vous que vous ayez percé plus tard que d’autres joueurs ?
Georges Mikautadze: On ne m’a pas fait confiance tout de suite. Je suis parti à Seraing, je suis revenu au FC Metz. Je suis ensuite reparti une année de plus en Belgique. C’est important de ne pas brûler les étapes. Ça m’a permis d’arriver ici, d’être comeilleur buteur de Ligue 2.
Avez-vous l'impression d'avoir fait des sacrifices depuis le début de votre carrière?
Oui, un peu. J’essaie de manger correctement, de travailler davantage. Les petits sacrifices finissent par payer. Je profiterai plus tard.
Avez-vous un régime alimentaire spécifique?
J’ai quelqu’un qui s’occupe de mes repas depuis environ deux mois. Il me donne des recettes pour toute la semaine que je me fais à la maison.
Vous vous en sortez comment en cuisine?
Parfois, quand les recettes sont trop compliquées, j’appelle ma mère au téléphone (rires). Elle fait super bien à manger, surtout les spécialités géorgiennes. Ce que je préfère, ce sont les khinkali. C’est de la viande hachée enrobée dans une pâte, avec un peu de sauce. Elle m’en fait parfois quand je rentre à la maison.
Vous n’arrivez pas encore à les faire vous-même?
Non (rires). Je n’ai pas encore essayé, mais quand je vois ma mère les faire, je me dis que ça doit être compliqué.
Avez-vous l’impression d’être devenu un des chouchous du public?
Un petit peu. C’est grâce aux résultats et aux buts que j'ai marqués. Je le vois sur les réseaux sociaux. Contre Nîmes, quand je suis sorti, j’ai eu droit à une petite ovation. Petit à petit, on commence à me reconnaître dans la rue.
Serait-il possible de vous voir rester à Metz la saison prochaine?
Bien sûr. Nous jouons la montée, donc en cas de promotion, pourquoi ne pas rester ici?
Il y a des championnats qui vous correspondent?
J’ai toujours dit que j’aimais bien le championnat anglais.
Avec notamment l’émergence de Khvicha Kvaratskhelia à Naples, sentez-vous qu’il y a une effervescence particulière autour de la sélection géorgienne?
Les joueurs commencent à sortir du pays, entre lui à Naples, le gardien (Giorgi Mamardashvili) qui joue à Valence, en Espagne ou Zuriko Davitashvili qui évolue à Bordeaux. C’est sûr qu’il y a de l’attente. On a un groupe jeune, donc on a du temps devant nous pour remplir les objectifs et jouer un jour une grande compétition.
Visez-vous une qualification pour l’Euro 2024 ou est-ce encore prématuré?
Oui on vise la qualification, maintenant il faut voir comment les matches vont se passer. On a un groupe assez compliqué avec la Norvège et l’Espagne. Mais il n’y a rien d’impossible et il faudra tout mettre en œuvre pour participer pour la première fois à l’Euro.