arthur865 a écrit :
Mr Sven a écrit :
Non, on pourrait aussi tomber sur un président qui sait également gérer le sportif, recruter des pépites et vendre les siennes au bon moment sportif et pas seulement au bon moment économique.
D'un maintien en L1 pendant plusieurs saisons par exemple. Cela rapportant bien plus que des ventes de joueurs, et en plus ça valorise encore plus ces joueurs vendus.
Les clubs de L1 rentables qui gagnent de l'argent avant transfert ça n'existe pas. C'est pas à Metz qu'on va l'inventer. Après où je suis d'accord c'est Serin a juste à dire Georges est sous contrat avec le FC Metz et de ce que j'en sais il est heureux au FC Metz.
Petit extrait de l'ITW de G.Le Saint président du SB 29 ( budgets et obligations de faire de fortes plus values sur la vente de joueurs car Brest n'a pas un top CF ni un G.Foot ).
Vous aviez terminé à la 11e place en 2021-22 et à la 14e cette saison. Au final, ça change quoi ?
On en parle beaucoup mais ça ne change pas grand-chose sur un budget de 47 ou 48 millions d’euros. Ce qui compte, en termes d’image auprès de potentielles recrues, c’est de se maintenir tôt, et pas attendre le dernier match pour se sauver.
Vous venez de le mentionner : le budget du Stade Brestois la saison prochaine se situera autour des 48 millions, c’est bien cela ?
Autour de cela, oui. Ce qu’on ne sait pas aujourd’hui, c’est ce qu’il va arriver demain : on n’a aucun engagement, aucune visibilité financière pour l’année prochaine. On sort des années « Mediapro » et des prévisions de budgets sur quatre ans, jusqu’à la fin de la saison 2023-24. Greg (Lorenzi) savait donc précisément, en vue de cette échéance, l’enveloppe dont il disposait pour constituer une équipe la plus solide qui soit afin de nous maintenir. Sachant que ce n’est pas l’entreprise Le Saint qui vient boucher les trous, et qu’on a réussi à équilibrer notre budget jusque-là en vendant d’abord Sissoko, puis Diallo, Perraud, Pintor, en enfin Faivre.
Vous vous retrouvez encore dans l’obligation de vendre cet été ?
Oui, on n’a pas le choix. Ce n’est pas compliqué : il nous faudra vendre à hauteur de 10 millions d’euros, sinon on va taper dans nos fonds propres, sachant qu’on en a onze. Et qu’il nous faut être à l’équilibre en début de saison suivante. Notre modèle économique repose sur la création de valeur sur des joueurs qu’on fait émerger. Brest, c’est un club tremplin, on sait qu’on doit créer de la valeur de manière à donner des moyens à la cellule de recrutement.
On mesure l’importance de Franck Honorat, votre joueur à la plus haute valeur marchande…
On la connaît, oui. Avec Franck, on s’est engagé à lui donner un bon de sortie mais si on n’atteint pas notre objectif de vente, on tapera dans nos fonds propres et Greg aura moins de moyens pour recruter.
Existe-t-il d’ores et déjà des discussions le concernant ?
Je n’ai pas les dernières infos mais je pense les discussions avec les agents vont commencer. Franck, on connaît son importance sur un terrain. C’est un joueur, avec sa pointe de vitesse, dont les qualités sont vectrices de réussite dans le football moderne.
Une personne est centrale dans ce mode de fonctionnement, c’est Grégory Lorenzi : avez-vous la certitude qu’il sera encore au Stade Brestois en août prochain ?
Tant qu’il ne m’a pas dit qu’il s’en va, il ne s’en va pas. Il a toute ma confiance, et je ne pense pas qu’il se permettrait, avec l’histoire qui nous lie, de me dire aujourd’hui ou demain qu’il part en août. En termes de déontologie, Greg est bien au-dessus.
Il n’en demeure pas moins que son profil est très convoité…
Oui, et c’est logique. Mais il sait aussi qu’il jouit à Brest d’une liberté qu’il n’aura peut-être pas ailleurs. Il le sait, et il l’a même dit. Le jour où il aura envie de partir, je pense qu’il me préviendra de bonne heure de manière à ce qu’on puisse se retourne
( Le DS Greg Lorenzi est le gendre du prés. ).