RL du 19/09/2010 : Les Messins sont déjà en état d’alerte
Publié : 19 sept. 2010, 09:03
Les Messins sont déjà en état d’alerte
Auteur de son pire début de saison en Ligue 2 depuis 2002, le FC Metz emprunte une trajectoire inquiétante. Sa quatrième défaite en sept matches, vendredi à Châteauroux, le place déjà en état d’alerte.

Dominique Bijotat (à droite), devra trouver les mots pour remettre ses troupes dans le sens de la marche. Et le temps presse, déjà… Photo Pascal BROCARD
A quoi se raccrocher ? Posée à l’élève messin, la question aura du mal, avouons-le, à trouver réponse convaincante. Certes, « tout n’est pas noir », comme semblait essayer de s’en persuader David Fleurival, vendredi, après l’échec de son camp à Châteauroux (1-0).
GRAND ANGLE
Certes, Metz a été meilleur que son adversaire « dans la maîtrise » et n’a pratiquement pas concédé d’occasions, comme a tenu à le souligner son entraîneur. Mais voilà, la vérité du score final, comme celle de la situation comptable présentée aujourd’hui par l’équipe de Dominique Bijotat, rend l’écoute de toute argumentation difficile.
A quoi se raccrocher, donc ? Pas à l’avenir, trop embrumé pour laisser la lumière filtrer. Au passé ? D’aucuns, dans un souci de ménagement, le déconseilleront aux âmes messines… Mais pourquoi pas, au fond ? A défaut de les trouver dans un présent qu’ils ne maîtrisent encore qu’avec beaucoup trop d’imperfections, les Messins dénicheront peut-être de quoi provoquer le sursaut attendu dans l’armoire des saisons passées.
Le pire est en cours
Attention, ce qui suit est susceptible de nuire à certaines sensibilités : des trois équipes reléguées en National à l’issue de l’exercice 2009-2010, deux faisaient déjà partie du convoi au soir de la septième journée. Strasbourg et Bastia, pour ne pas les nommer, ne se sont jamais remis d’un démarrage poussif comparable à celui de Metz un an plus tard. Seul Ajaccio avait fini par s’en sortir, livrant aujourd’hui à son homologue messin une raison de croire au possible. Rien qu’une raison…
Dix-neuvième, en attendant lundi et l’issue d’un Reims-Nantes qui pourrait le faire chuter au niveau le plus bas du classement, le FC Metz réalise le pire de ses cinq derniers débuts de saison en Ligue 2. En 2002-2003, après sept journées de championnat, son compteur affichait déjà onze points. Il en comptait seize en 2006-2007, quatorze en 2008-2009, neuf l’année dernière… Et cinq aujourd’hui.
« On va les traîner un moment… »
Difficile, après observation du déclin, d’imaginer autre chose que des semaines difficiles pour Dominique Bijotat et les siens. Si leurs devanciers se battaient pour les premières places, eux se sont engagés dans une lutte moins noble, peut-être, mais d’une importance vitale pour l’avenir du club. Metz en état d’alerte ?
Pour l’instant, aucune voix dirigeante ne s’est fait entendre à ce sujet. Il est vrai qu’avant leur défaite dans l’Indre, la quatrième en sept matches, les Messins restaient sur une série de trois matches sans défaite, laissant l’idée de l’amélioration constatée depuis la victoire contre Vannes prendre le dessus sur la réalité comptable. Mais la soirée de Châteauroux est passée par là… Qui a rappelé Metz à son début de championnat manqué.
« Nos trois défaites, on va les traîner comme des casseroles pendant un moment, note, lucide, Dominique Bijotat. Elles ont peut-être plus de poids que ce qu’on pouvait imaginer… »
A quoi se raccrocher, donc ? « Il va falloir s’arracher, développer d’autres forces, tous ensemble. » Le tout sans Kévin Diaz, out pour les six prochains mois, et avec un doute qui n’en finit pas d’enfler à gérer. A part ça, tout va bien.
Cédric BROUT.
Diaz, six mois d’arrêt minimum
Premier buteur messin de la saison en championnat – il avait inscrit le but de ce qui reste la seule victoire messine face à Vannes (4 e journée) – Kévin Diaz n’est pas prêt de récidiver. Le milieu de terrain devrait en effet être tenu éloigné des terrains durant les six prochains mois… Le temps nécessaire pour lui de se remettre de l’entorse du genou qui l’a contraint à quitter la pelouse prématurément, vendredi soir, à Châteauroux.
Retour à Monaco ?
Si Dominique Bijotat pouvait trouver de quoi nourrir un certain optimisme dans les dernières prestations de son joueur, il lui faudra désormais chercher ailleurs. Hier, André Marie, le docteur du club, a confirmé la gravité de la blessure. « C’est une grave entorse, probablement avec rupture des ligaments croisés. Il s’est fait ça tout seul, sur un changement de direction. » Et pas besoin d’attendre les prochains examens médicaux, en début de semaine, pour comprendre que l’indisponibilité de Kévin Diaz est appelée à durer. « C’est six mois d’arrêt minimum, si ça va bien… » Autrement dit, c’est la saison tout entière qui semble aujourd’hui compromise pour ce joueur arrivé cet été en Moselle. « C’est un coup dur pour lui et pour nous, il était bien relancé », a commenté l’entraîneur messin.
Reste maintenant à savoir si cette blessure ne sonne tout simplement pas la fin de l’aventure entre le FC Metz et Kévin Diaz. Ce dernier n’appartenant pas au club du président Serin, puisque prêté par l’AS Monaco jusqu’en juin prochain, il pourrait en effet être opéré et suivre sa rééducation en Principauté. Les deux clubs sont déjà entrés en contact afin d’envisager la suite des événements.
C. B.
Metz freiné
Renforcée par la présence de plusieurs professionnels, l’équipe messine rentrait bien dans son match. Dès la 9 e minute, les Grenats étaient tout prêt d’ouvrir la marque. Sur un centre de Gueye, Bourgeois sautait plus haut que tout le monde mais voyait sa tête raser la transversale. Tandjigora, par deux fois, tentait des tirs de loin qui ne passaient pas loin des buts de Lombard (11 e et 20 e).
Juste avant la pause, les Bastiais avaient une nouvelle frayeur avec le centre de Métanire mais Keita était trop court (44 e). Les protégés de José Pinot ne parvenaient pas à contrer la défense corse parfaitement en place.
Au retour des vestiaires, les Bastiais allaient de l’avant. Cristofari obligeait même Sissoko à la parade (51 e). Quelques minutes plus tard pourtant, ce sont les Messins qui étaient à deux doigts de marquer. Bourgeois, côté gauche, centrait à destination de Cassan qui ne pouvait récupérer mais Keita, derrière lui, envoyait un boulet de canon sur la transversale (55 e). Alors que Metz jouait de malchance, les Corses, eux, n’avaient pas besoin de beaucoup d’actions pour inscrire un but. Suite à une touche, Beneforti trouvait la lucarne de Sissoko (0-1 ; 69 e). Les Messins ne se laissaient pas aller et réussissaient à égaliser grâce à un coup franc de Cassan dévié par la tête de Bussmann (1-1 ; 76 e). José Pinot, le coach messin analysait à la fin du match : « Malgré le bloc défensif bas de Bastia qui commettait peu de fautes, on a eu beaucoup d’occasions et on aurait dû être devant avant l’ouverture du score. On a fait preuve de sang-froid et même si on s’est mis en difficulté, on n’a pas lâché. C’est dommage car ce nul met un frein à nos résultats ».
FC METZ - BASTIA : 1-1 (0-0) Stade des Hauts de Blémont
FC METZ - BASTIA : 1-1 (0-0)
Stade des Hauts de Blémont. 80 spectateurs environ. Arbitre : M. Hamid. Buts pour Metz : Bussmann (76 e) ; pour Bastia : Beneforti (69 e). Avertissements à Metz : Traoré (49 e) ; à Bastia : Pastorelli (37 e).
FC METZ. Sissoko – Métanire (Siebert, 71 e), Koulibaly, Bussmann, Gueye – Traoré (Yi Teng, 83 e), Walter (cap) (Haddadji, 71 e), Tandjigora, Cassan – Keita, Bourgeois.
BASTIA. Lombard – Moretti, Fourtier, Sorbara, Derme, Ekwalla Essaka – Arnoux (cap) (Ajiboye, 68 e), Cristofari, Grimaldi (Lamberti, 83 e), Beneforti (Nicolai, 86 e) - Pastorelli.
fc metz express
Tableau de bord. Hier : séance de décrassage pour les joueurs revenus de Châteauroux. Aujourd’hui : repos. Demain : une séance d’entraînement (9h30).
D’un match à l’autre. Dernier match : Châteauroux - Metz (7 e journée de Ligue 2), vendredi 17 septembre : 1-0. Prochain match : Metz - Reims (8 e journée), vendredi 24 septembre à 20h. A suivre : Tours - Metz (9 e journée), lundi 4 octobre à 20h30.
A l’infirmerie. Christophe Marichez (pubalgie) est entré en phase de reprise. Kévin Diaz, lui, est revenu de Châteauroux avec une « grave entorse du genou gauche » ( lire par ailleurs).
Suspendu. Ludovic Guerriero, averti pour la troisième fois en moins de dix matches face à Nantes, lors de l’avant-dernière journée, a écopé d’un match de suspension. Il purgera sa sanction à l’occasion de la venue de Reims.
Buteurs. En Ligue 2 : Diaz, Sakho (1). En Coupe de la Ligue : Gestede (1).
L’anecdote. Titulaire la semaine passée contre Nantes, Cheikh Gueye n’a pas eu l’occasion de poursuivre sur sa lancée. Arrivé en retard à l’entraînement, jeudi, à la veille du départ pour Châteauroux, le défenseur a été invité à rester en Moselle.
Auteur de son pire début de saison en Ligue 2 depuis 2002, le FC Metz emprunte une trajectoire inquiétante. Sa quatrième défaite en sept matches, vendredi à Châteauroux, le place déjà en état d’alerte.
Dominique Bijotat (à droite), devra trouver les mots pour remettre ses troupes dans le sens de la marche. Et le temps presse, déjà… Photo Pascal BROCARD
A quoi se raccrocher ? Posée à l’élève messin, la question aura du mal, avouons-le, à trouver réponse convaincante. Certes, « tout n’est pas noir », comme semblait essayer de s’en persuader David Fleurival, vendredi, après l’échec de son camp à Châteauroux (1-0).
GRAND ANGLE
Certes, Metz a été meilleur que son adversaire « dans la maîtrise » et n’a pratiquement pas concédé d’occasions, comme a tenu à le souligner son entraîneur. Mais voilà, la vérité du score final, comme celle de la situation comptable présentée aujourd’hui par l’équipe de Dominique Bijotat, rend l’écoute de toute argumentation difficile.
A quoi se raccrocher, donc ? Pas à l’avenir, trop embrumé pour laisser la lumière filtrer. Au passé ? D’aucuns, dans un souci de ménagement, le déconseilleront aux âmes messines… Mais pourquoi pas, au fond ? A défaut de les trouver dans un présent qu’ils ne maîtrisent encore qu’avec beaucoup trop d’imperfections, les Messins dénicheront peut-être de quoi provoquer le sursaut attendu dans l’armoire des saisons passées.
Le pire est en cours
Attention, ce qui suit est susceptible de nuire à certaines sensibilités : des trois équipes reléguées en National à l’issue de l’exercice 2009-2010, deux faisaient déjà partie du convoi au soir de la septième journée. Strasbourg et Bastia, pour ne pas les nommer, ne se sont jamais remis d’un démarrage poussif comparable à celui de Metz un an plus tard. Seul Ajaccio avait fini par s’en sortir, livrant aujourd’hui à son homologue messin une raison de croire au possible. Rien qu’une raison…
Dix-neuvième, en attendant lundi et l’issue d’un Reims-Nantes qui pourrait le faire chuter au niveau le plus bas du classement, le FC Metz réalise le pire de ses cinq derniers débuts de saison en Ligue 2. En 2002-2003, après sept journées de championnat, son compteur affichait déjà onze points. Il en comptait seize en 2006-2007, quatorze en 2008-2009, neuf l’année dernière… Et cinq aujourd’hui.
« On va les traîner un moment… »
Difficile, après observation du déclin, d’imaginer autre chose que des semaines difficiles pour Dominique Bijotat et les siens. Si leurs devanciers se battaient pour les premières places, eux se sont engagés dans une lutte moins noble, peut-être, mais d’une importance vitale pour l’avenir du club. Metz en état d’alerte ?
Pour l’instant, aucune voix dirigeante ne s’est fait entendre à ce sujet. Il est vrai qu’avant leur défaite dans l’Indre, la quatrième en sept matches, les Messins restaient sur une série de trois matches sans défaite, laissant l’idée de l’amélioration constatée depuis la victoire contre Vannes prendre le dessus sur la réalité comptable. Mais la soirée de Châteauroux est passée par là… Qui a rappelé Metz à son début de championnat manqué.
« Nos trois défaites, on va les traîner comme des casseroles pendant un moment, note, lucide, Dominique Bijotat. Elles ont peut-être plus de poids que ce qu’on pouvait imaginer… »
A quoi se raccrocher, donc ? « Il va falloir s’arracher, développer d’autres forces, tous ensemble. » Le tout sans Kévin Diaz, out pour les six prochains mois, et avec un doute qui n’en finit pas d’enfler à gérer. A part ça, tout va bien.
Cédric BROUT.
Diaz, six mois d’arrêt minimum
Premier buteur messin de la saison en championnat – il avait inscrit le but de ce qui reste la seule victoire messine face à Vannes (4 e journée) – Kévin Diaz n’est pas prêt de récidiver. Le milieu de terrain devrait en effet être tenu éloigné des terrains durant les six prochains mois… Le temps nécessaire pour lui de se remettre de l’entorse du genou qui l’a contraint à quitter la pelouse prématurément, vendredi soir, à Châteauroux.
Retour à Monaco ?
Si Dominique Bijotat pouvait trouver de quoi nourrir un certain optimisme dans les dernières prestations de son joueur, il lui faudra désormais chercher ailleurs. Hier, André Marie, le docteur du club, a confirmé la gravité de la blessure. « C’est une grave entorse, probablement avec rupture des ligaments croisés. Il s’est fait ça tout seul, sur un changement de direction. » Et pas besoin d’attendre les prochains examens médicaux, en début de semaine, pour comprendre que l’indisponibilité de Kévin Diaz est appelée à durer. « C’est six mois d’arrêt minimum, si ça va bien… » Autrement dit, c’est la saison tout entière qui semble aujourd’hui compromise pour ce joueur arrivé cet été en Moselle. « C’est un coup dur pour lui et pour nous, il était bien relancé », a commenté l’entraîneur messin.
Reste maintenant à savoir si cette blessure ne sonne tout simplement pas la fin de l’aventure entre le FC Metz et Kévin Diaz. Ce dernier n’appartenant pas au club du président Serin, puisque prêté par l’AS Monaco jusqu’en juin prochain, il pourrait en effet être opéré et suivre sa rééducation en Principauté. Les deux clubs sont déjà entrés en contact afin d’envisager la suite des événements.
C. B.
Metz freiné
Renforcée par la présence de plusieurs professionnels, l’équipe messine rentrait bien dans son match. Dès la 9 e minute, les Grenats étaient tout prêt d’ouvrir la marque. Sur un centre de Gueye, Bourgeois sautait plus haut que tout le monde mais voyait sa tête raser la transversale. Tandjigora, par deux fois, tentait des tirs de loin qui ne passaient pas loin des buts de Lombard (11 e et 20 e).
Juste avant la pause, les Bastiais avaient une nouvelle frayeur avec le centre de Métanire mais Keita était trop court (44 e). Les protégés de José Pinot ne parvenaient pas à contrer la défense corse parfaitement en place.
Au retour des vestiaires, les Bastiais allaient de l’avant. Cristofari obligeait même Sissoko à la parade (51 e). Quelques minutes plus tard pourtant, ce sont les Messins qui étaient à deux doigts de marquer. Bourgeois, côté gauche, centrait à destination de Cassan qui ne pouvait récupérer mais Keita, derrière lui, envoyait un boulet de canon sur la transversale (55 e). Alors que Metz jouait de malchance, les Corses, eux, n’avaient pas besoin de beaucoup d’actions pour inscrire un but. Suite à une touche, Beneforti trouvait la lucarne de Sissoko (0-1 ; 69 e). Les Messins ne se laissaient pas aller et réussissaient à égaliser grâce à un coup franc de Cassan dévié par la tête de Bussmann (1-1 ; 76 e). José Pinot, le coach messin analysait à la fin du match : « Malgré le bloc défensif bas de Bastia qui commettait peu de fautes, on a eu beaucoup d’occasions et on aurait dû être devant avant l’ouverture du score. On a fait preuve de sang-froid et même si on s’est mis en difficulté, on n’a pas lâché. C’est dommage car ce nul met un frein à nos résultats ».
FC METZ - BASTIA : 1-1 (0-0) Stade des Hauts de Blémont
FC METZ - BASTIA : 1-1 (0-0)
Stade des Hauts de Blémont. 80 spectateurs environ. Arbitre : M. Hamid. Buts pour Metz : Bussmann (76 e) ; pour Bastia : Beneforti (69 e). Avertissements à Metz : Traoré (49 e) ; à Bastia : Pastorelli (37 e).
FC METZ. Sissoko – Métanire (Siebert, 71 e), Koulibaly, Bussmann, Gueye – Traoré (Yi Teng, 83 e), Walter (cap) (Haddadji, 71 e), Tandjigora, Cassan – Keita, Bourgeois.
BASTIA. Lombard – Moretti, Fourtier, Sorbara, Derme, Ekwalla Essaka – Arnoux (cap) (Ajiboye, 68 e), Cristofari, Grimaldi (Lamberti, 83 e), Beneforti (Nicolai, 86 e) - Pastorelli.
fc metz express
Tableau de bord. Hier : séance de décrassage pour les joueurs revenus de Châteauroux. Aujourd’hui : repos. Demain : une séance d’entraînement (9h30).
D’un match à l’autre. Dernier match : Châteauroux - Metz (7 e journée de Ligue 2), vendredi 17 septembre : 1-0. Prochain match : Metz - Reims (8 e journée), vendredi 24 septembre à 20h. A suivre : Tours - Metz (9 e journée), lundi 4 octobre à 20h30.
A l’infirmerie. Christophe Marichez (pubalgie) est entré en phase de reprise. Kévin Diaz, lui, est revenu de Châteauroux avec une « grave entorse du genou gauche » ( lire par ailleurs).
Suspendu. Ludovic Guerriero, averti pour la troisième fois en moins de dix matches face à Nantes, lors de l’avant-dernière journée, a écopé d’un match de suspension. Il purgera sa sanction à l’occasion de la venue de Reims.
Buteurs. En Ligue 2 : Diaz, Sakho (1). En Coupe de la Ligue : Gestede (1).
L’anecdote. Titulaire la semaine passée contre Nantes, Cheikh Gueye n’a pas eu l’occasion de poursuivre sur sa lancée. Arrivé en retard à l’entraînement, jeudi, à la veille du départ pour Châteauroux, le défenseur a été invité à rester en Moselle.