Forum du FC Metz

Y'a plus d'essence,les gares et aéroports sont en grève !
Ou alors tu y vas en calèche

gg67 a écrit : Y'a plus d'essence,les gares et aéroports sont en grève !
Ou alors tu y vas en calèche

Je roule à la gnôle et je distille avec un alambic clandestin. Pour l'avion, les hélices sont à pédales

InSerinWeTrust a écrit :

gg67 a écrit : Y'a plus d'essence,les gares et aéroports sont en grève !
Ou alors tu y vas en calèche

Je roule à la gnôle et je distille avec un alambic clandestin. Pour l'avion, les hélices sont à pédales

J'aurais dû me taire, vol et donc WE annulé. Reste le pestacle avec Eboué à venir

5/10 : dans l'expectative. Je dois faire un vrai choix, car ça devient nécessaire. Mais je n'ai pas assez de certitudes pour choisir ce qui me tente le plus. Et je ne suis pas assez téméraire pour prendre le risque. Du coup, je cogite. Et je ne fais rien. Et je me sens de plus en plus oppressé.

Mais je me suis fait un petit plaisir avec une pâtisserie "tout choco" pour le goûter.

Couleurdhiver a écrit : 5/10 : dans l'expectative. Je dois faire un vrai choix, car ça devient nécessaire. Mais je n'ai pas assez de certitudes pour choisir ce qui me tente le plus. Et je ne suis pas assez téméraire pour prendre le risque. Du coup, je cogite. Et je ne fais rien. Et je me sens de plus en plus oppressé.

Mais je me suis fait un petit plaisir avec une pâtisserie "tout choco" pour le goûter.

Prend la réponse D!

Couleurdhiver a écrit : 5/10 : dans l'expectative. Je dois faire un vrai choix, car ça devient nécessaire. Mais je n'ai pas assez de certitudes pour choisir ce qui me tente le plus. Et je ne suis pas assez téméraire pour prendre le risque. Du coup, je cogite. Et je ne fais rien. Et je me sens de plus en plus oppressé.

Mais je me suis fait un petit plaisir avec une pâtisserie "tout choco" pour le goûter.

Si c'est une histoire de fesses, faut sauter le pas. Si c'est autre chose, faut sauter sur une histoire de fesses.

Couleurdhiver a écrit : 5/10 : dans l'expectative. Je dois faire un vrai choix, car ça devient nécessaire. Mais je n'ai pas assez de certitudes pour choisir ce qui me tente le plus. Et je ne suis pas assez téméraire pour prendre le risque. Du coup, je cogite. Et je ne fais rien. Et je me sens de plus en plus oppressé.

Mais je me suis fait un petit plaisir avec une pâtisserie "tout choco" pour le goûter.

Respecter sa propre humanité consiste peut-être à ne pas avoir de certitudes, dans ce genre de situation je me poserai ce genre de questions :

- mes craintes répondent à quel besoin en creusant une couche plus profondément, quel est le véritable risque, quels sont les risques fantasmés et ils servent à me défendre contre quoi ? Si j’ai pas ces certitudes c’est peut-être parce que je suis lucide sur mon humanité et je ne les aurais jamais, si je les avais elles seraient artificielles et encore une fois elles me serviraient à répondre à quel besoin à me défendre face à quelle véritable peur ancrée en moi à travers mon histoire, mon éducation, mes expériences ? Et je gratouillerai encore et encore autour de ces besoins pour en arriver à être au clair avec les peurs qui menacent ce besoin, je ne pourrai pas les éradiquer(qui reviendrait a me défendre encore grâce à des illusions) mais pourrais je vivre suffisamment confortablement avec et donc…faire un choix. Telle est la question :)

Ça doit être très abstrait et délirant mais c’est le genre de démarche que je ferai dans ce genre de situation, bon courage

Trois retours différents, avec plus ou moins de pertinence... Merci les zamis du fofo.

Couleurdhiver a écrit : 5/10 : dans l'expectative. Je dois faire un vrai choix, car ça devient nécessaire. Mais je n'ai pas assez de certitudes pour choisir ce qui me tente le plus. Et je ne suis pas assez téméraire pour prendre le risque. Du coup, je cogite. Et je ne fais rien. Et je me sens de plus en plus oppressé.

Mais je me suis fait un petit plaisir avec une pâtisserie "tout choco" pour le goûter.

La vie m'a rappelé à quel point elle était courte et que l'on peut passer de vie à trépas très rapidement. Un an d'hospitalisation, de chimiothérapie et une lassitude comme jamais. J'ai du travail mais tout m'est fade. Reste le plaisir de la famille, la bonne bouffe. J'ai des envies de jardin, de bricolage et surtout sortir de la paperasse qui fait que je n'avance pas.

Bon moral, je suis en route pour l'Italie, où je vais d'abord "subir" une formation poussée à la sécurité en zone de conflit/post conflit en prévision de mon futur poste à Bangui. Donnée par des militaires, avec simulacres de prise d'otage et d'exécution (!!), ce genre là.
Et je passe pâques en famille en Italie après, top!
Voilà